Carnet de bord, lundi 21 juin 2021

Carnet de bord, lundi 21 juin 2021

21 juin 2021 7 Par Bidib

Bienvenus sur Ma petite Médiathèque, voici, comme chaque lundi, mon petit carnet de bord de la semaine passée : articles publiés, livres lus et bilan de visionnage au rendez-vous.

Lectures de la semaine

lectures terminées

Une semaine sous le signe des bulles !

J’ai lu deux bandes dessinées : Sept voleurs, emprunté à la bibliothèque avec Sept nains (lu la semaine dernière). Une BD de David Chauvel et Jérôme Lereculey, publiée chez Delcourt.

Synopsis : Deux voleurs sans envergure, qui survivent tant bien que mal de leurs larcins, se font aborder par deux nains. Ces derniers souhaitent faire usage de leurs talents dans le cadre d’une mission risquée, mais très lucrative : s’emparer du fabuleux trésor de leur peuple. Pour mener à bien cette expédition, ils ont besoin des deux hommes, mais aussi d’un colosse capable de transporter le butin et de deux féroces… orcs ! (source : livraddict)

Franchement je n’ai pas été emballé par cette lecture. J’ai passé un bon moment, mais c’est très classique et ce sera vite oublié. Néanmoins c’est toujours sympa de retrouver des univers fantasy avec nains, orcs et dragons. Une lecture pour le challenge Contes & Légendes.

Grâce à NetGaley et aux éditions Dargaud, j’ai pu découvrir Jours de Sable de Aimée de Jong. Une lecture que j’ai adorée. Je vous en reparlerai en détail la semaine prochaine.

Synopsis :Washington, 1937. John Clark, journaliste photoreporter de 22 ans, est engagé par la Farm Security Administration, l’organisme gouvernemental chargé d’aider les fermiers victimes de la Grande Dépression. Sa mission : témoigner de la situation dramatique des agriculteurs du Dust Bowl. Située à cheval sur l’Oklahoma, le Kansas et le Texas, cette région est frappée par la sécheresse et les tempêtes de sable plongent les habitants dans la misère.

En Oklahoma, John tente de se faire accepter par la population. Au cours de son séjour, qui prend la forme d’un voyage initiatique, il devient ami avec une jeune femme, Betty. Grâce à elle, il prend conscience du drame humain provoqué par la crise économique. Mais il remet en question son rôle social et son travail de photographe… (source : livraddict)

Couverture Sept, saison 1, tome 2 : Sept voleurs

J’ai aussi lu plusieurs manga empruntés à la bibliothèque

Route end tome 7 et 8 (les deux derniers de la série). Un thrilleur plutôt bien tourné qui n’a de cesse de fleureter avec le fantastique.

Synopsis : Un nettoyeur de cadavres aux trousses d’un serial-killer : un thriller meurtrier dans la veine de Seven !

Après avoir passé des mois à investiguer, la police réussit enfin à mettre la main sur l’insaisissable End… Mais lorsque son identité est révélée, le choc est immense pour Taji ! Commence alors une véritable descente aux enfers pour la famille Haruno, harcelée par les proches des victimes et par les journalistes…

Tandis que le nettoyeur de cadavres perd pied face à l’horrible vérité, les enquêteurs étudient le profil du meurtrier : qu’est-ce qui a bien pu pousser un homme au comportement en apparence exemplaire à devenir un serial killer ? (source : livraddict)

mon avis sur les 4 premiers tomes

J’ai aussi lu la suite de Sengo, manga de Sansuke Yamada publié chez Casterman

Synopsis : ravi d’avoir renoué avec Kawashima, son ancien supérieur, Kadomatsu ne le quitte plus convaincu que ces retrouvailles augurent d’une vie meilleure dans un Tokyo détruit et occupé. Mais Kawashima, lui, est hanté par ce qu’il a vécu pendant la guerre, et menace de sombrer à tout moment dans les ténèbres.
Retour en arrière, au cœur du bourbier d’un conflit qui touche à sa fin : dans une caserne quelque part sur le vaste continent chinois, le sergent-chef Kawashima, le “plus malin des benêts de la compagnie”, se voit confier le commandement d’une embarrassante escouade composée presque exclusivement d’éléments problématiques. (livraddict)

Un tome 2 très dure avec un retour sur les années de guerre quand nos deux héros étaient en Chine. Et si la guerre c’est toujours cruel, l’armée japonaise s’est distinguée par sa violence gratuite en Chine. Ici on en a un petit aperçu avec l’exécution sommaire des prisonniers (probables d’innocent villageois) qu’on exécute pour l’exercice. Bref faut avoir le cœur bien accroché.

J’ai enfin pris le temps de découvrir Elle s’appelait Tomoji, un des rares manga de Jiro Taniguchi que je n’avais pas encore lus. Direction le Japon des années 1910-20. Une histoire émouvante, mais je n’ai pas été emportée.

Synopsis : Tomoji Uchida a fondé un temple bouddhiste au Japon.
Loin de décrire le quotidien de Tomoji, Jirô Taniguchi a pris le parti de raconter son enfance. De son premier souffle en 1912 jusqu’aux quelques jours qui suivent son mariage avec Fumiako Itô, l’auteur s’arrête sur quelques bribes de ce que fut la jeunesse de cette femme. Née dans une famille unie et aimante, Tomoji fut orpheline de père à l’âge de quatre ans. Peu de temps après, leur mère abandonne le foyer, laissant ainsi ses trois enfants à la garde de leur grand-mère maternelle. L’aïeule les prend en charge sans que jamais elle ne remette en cause leur place à ses côtés. Tomoji grandit entre l’école, les travaux dans les champs et l’aide à apporter au magasin qu’avait créé son père. Les années se succèderont, alternées de petites joies et de peines immenses. (source : livraddict)

Enfin j’ai lu le troisième tome d’Asadora ! Comme pour le précédent, une lecture agréable, mais qui ne m’a pas marqué

Synopsis : Une héroïne qui ne cesse de courir, un vieil homme hanté par son passé, un événement historique marquant, des personnages secondaires haut en couleurs, des sauts dans le temps… (source : livraddict)

lectures en cours

 

Visionnages de la semaine

Continuum, saison 1

Affiche Continuum

La semaine dernière je vous ai parlé des premiers épisodes de Continuum, une série SF avec voyage dans le temps.

Synopsis : Keira Cameron, inspecteur de police en 2077, se retrouve propulsé en 2012, en poursuivant des terroristes à travers une faille temporelle. Coincée à notre époque, elle va devoir s’allier à certains de nos contemporains pour empêcher les terroristes de modifier le futur. (source : SensCritique)

Les premiers épisodes m’avaient laissé assez perplexe et en même temps m’avaient intrigué par le propose de départ. D’un côté on à la gentille, la flic de 2077 qui traque les terroristes, de l’autre les dit terroristes, très très méchants. Sauf que la gentille flic travaille pour des multinationales qui ont prix le pouvoir dans le futur, tandis que les terroristes se battent pour la liberté. Il y a comme un truc qui cloche, non ? Et c’est justement ce qui m’intriguait. Étais-je en présence de propagande libérale ou est-ce cette vision manichéenne va évoluer au fur et à mesure qu’on avance ?

Avec la fin de la première saison, nous avons toujours une vision très manichéenne avec les méchants terroristes d’un côté et la gentille flic de l’autre. Mais l’un personnages secondaires va finalement révéler de nouvelles facettes. Se pourrait-il qu’il ait un plan très complexe en tête et que notre héroïne se soit fait manipuler ? Si oui, pourquoi ? Quel est le véritable but derrière ce voyage dans le temps ? C’est ce qu’il me reste à découvrir dans les saisons suivantes.

Avec cette série je participe au challenge Polar et Thrillers

Les irréguliers de Baker Street, saison 1

Affiche Les Irréguliers de Baker Street

J’avais regardé les deux premiers épisodes de la série il y a quelques mois. À l’occasion du Mois Anglais j’ai eu envie de retourner arpenter les rues de Londres avec cette bande de gamins des rues dans une série inspirée de l’univers sherlockien à la sauce fantastique.

synopsis : Bienvenue dans le Londres du XIXe siècle, où les Irréguliers, un gang de jeunes marginaux, élucident des crimes surnaturels pour le compte du Dr Watson et de son mystérieux associé, Sherlock Holmes. (source : SensCritique)

Une série fantastique pour ado avec des personnages attachants, mais un Sherlock très loin de l’image que je m’en fais. Une Londres XIX fantasmée qui fonctionne plutôt bien. Les gamins des rues s’associent au prince Léopold, fils de la reine Victoria qui fuit le palais pour découvrir la vie dans les rues de Londres. Il y rencontrera la bande des irréguliers de Baker Street dirigé par la charismatique Bea, adolescente intrépide, prête à tout pour défendre les siens et tout particulièrement sa petite sœur douée de pouvoir extralucide.

Avec cette série je participe donc au moi Anglais, mais aussi au challenge A year in England, British Mysteries, ainsi qu’au challenge Polar et Thriller.

Loki, saison 1, épisodes 1 et 2

Affiche Loki

J’ai regardé les deux premiers épisodes de la série Loki et j’avoue que je suis déçue. C’est très WTF. J’espère que ça va gagner en crédibilité parce que là ça ne casse pas trois pattes à un canard.

Synopsis : Situé après les évènements d’Avengers : Endgame, Loki s’échappe de sa détention grâce au Tesseract, mais cette action chamboule le continuum espace-temps. Désormais aux mains d’une mystérieuse organisation, il doit réparer ce qu’il a brisé. (source : SensCritique)

Sur le blog

What else ?

Aujourd’hui j’inaugure cette nouvelle rubrique du carnet de bord pour vous parler d’un projet Ulule.

Je vous ai déjà parlé ici des aventures des Spectaculaires de Hautière Régis (scénario) et  Poitevin Arnaud (dessin), publié chez Rue de Sèvres.

Un bande dessinée jeunesse se déroulant au début du XXe siècle et montrant les trépidantes aventures d’une bande de saltimbanques très particuliers, sortes de superhéros avant l’heure. Très jolie BD, bourrée d’humour et de clins d’œil.

Couverture Une aventure des Spectaculaires, tome 1 : Le cabaret des ombresCouverture Une aventure des spectaculaires, tome 3 : Les spectaculaires prennent l'eau

Arnaud Poitevin lance une édition de luxe en noir et blanc regroupant justement les deux tomes que j’ai lu sous le titre Les Spectaculaires de Paname en autofinancement via la plateforme Ulule. Un joli projet pour (re)découvrir la BD sous un œil nouveau.

Ne sont-elles pas superbes ces planches noirs et blanc ?

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