Bilan livresque : Juillet 2024 {by Kio}

Bonjour ! Durant ce premier mois de vacances d’été, j’ai eu le temps de rattraper plusieurs lectures ! Et j’ai pu varier dans différents genres et types ! (en réalité, j’ai un peu triché, car j’ai relu plusieurs livres…)

Bilan : 2 romans, 2 BD, 2 mangas et 4 manhwas = 10 livres.

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⇒ Côté romans

Les dieux du campus (tome 2) – Sander de Phoenix B. Asher & F. Y Estyer

Genre : romance MxM, campus, football américain, hockey, troubles mentaux et ennemis to lovers.

Édité chez Hugo romans.

Résumé : 

Entre Sander, joueur adulé de l’équipe de football américain et Jeremiah, hockeyeur star de la même université, les relations sont électriques et virent régulièrement à l’affrontement. Pourtant, quelques mois auparavant, tout semblait les destiner à devenir amis…

Le mieux serait qu’ils s’ignorent, mais difficile d’y parvenir quand on fréquente les mêmes personnes. Plus encore quand on est irrémédiablement attiré par l’autre. Quand le destin décide de s’en mêler et que Jeremiah se retrouve à faire du bénévolat dans l’association fondée par Sander, la situation ne peut que devenir explosive. Parviendront-ils à apaiser le feu qui les consume de l’intérieur avant qu’il ne soit trop tard ?

Mon avis :

À peu près dans la même vibe qu’”Esprit d’équipe” d’Aimé Lou, Les dieux du campus est une saga de romance universitaire où nous suivons plusieurs couples différents dans chaque tome. Nous pouvons donc les lire séparément (ce que j’ai fait, j’ai acheté que les tomes qui m’intéressent).

Comme Esprit d’équipe, la relation entre les personnages est un ennemies to lovers , les chapitres sont courts et le rythme est super fluide ! Ce qui rend la lecture addictive au point où je n’avais plus envie de lâcher le livre. Je l’ai terminé en seulement deux jours et j’ai adoré ! Encore une fois, c’est le langage cru qui m’a légèrement dérangé dans la plume, du moins ce n’était pas très gênant.

Ce que j’ai le plus aimé dans ce tome, c’est les thèmes abordés tels que les troubles mentaux. Grâce à cette lecture, j’ai appris ce que c’est le TEI, j’ai trouvé ça très intéressant, cela donnait de la profondeur dans le personnage de Sander. J’ai pu facilement m’attacher à lui à cause de son histoire difficile et son trouble qui lui a rendu l’adolescence difficile. Le deuil, l’homophobie, l’anxiété et l’acceptation de soi sont aussi évoqués tout au long du roman. Les personnages secondaires comme les protagonistes m’ont beaucoup touché et j’ai adoré voir leurs différentes relations. Cela m’a même donné envie de découvrir l’histoire de Leander et Nyx (le tome 1) tellement j’ai aimé leurs personnalités et le lien qu’ils sont avec Sander. Pareil pour Dante, que j’ai adoré (son histoire est dans le troisième tome). Je ne sais pas encore si j’achèterai leurs tomes, car j’ai encore le quatrième à lire (celui sur Knox que je lirai le mois prochain sans aucun doute).

Même si le rythme est fluide, je dois avouer que certains passages sont un peu longs, car il ne se passe pas grand-chose. Néanmoins, cela ne m’a pas gâché la lecture et j’ai adoré suivre l’histoire de Sander et Jeremiah ! Hâte de découvrir ceux des autres.

Ma note : 4.5/5

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La promesse du dragon de Elizabeth Lim

Genre : Fantasy asiatique, dragons, magie, démons et quête.

Édité chez Rageot.

Résumé : 

Shiori, princesse de Kiata, a fait une promesse à sa belle-mère qu’elle compte bien tenir : retrouver le propriétaire légitime de la perle de dragon qu’elle a en sa possession. Pour cela, elle doit se rendre au royaume des dragons, dans les profondeurs de la mer Taijin, laissant derrière elle ses frères et son fiancé, Takkan… Mais la pierre attire bien des convoitises, et Shiori va devoir se battre pour éviter qu’elle ne tombe entre de mauvaises mains.

Mon avis : 

Après plus d’un an à avoir lu le premier tome, j’ai enfin fini cette duologie ce mois-ci ! Je me suis motivée et j’ai réussi à lire 600 pages en seulement 4 jours !! Cela faisait une éternité que je n’avais pas enchainé un pavé en si peu de temps… Je n’avais pas d’attente particulière pour ce livre, et honnêtement j’ai passé un agréable moment !

J’ai adoré l’univers, qui est principalement inspiré de la culture et des mythes japonais. J’ai été très contente de reconnaître plusieurs contes cités, on voit que l’autrice a mis en valeur ses connaissances et a bien développé son monde.

Les personnages m’avaient un peu manqué et j’ai aimé les retrouver dans ce tome, il m’a fallu un peu de temps pour m’y retrouver entre les nouveaux et les anciens… Je me suis attachée à Shiori pour sa détermination et ses ambitions. Son partenaire, Takkan, est tout simplement adorable. Leur relation se développe lentement et ils sont beaucoup trop mignons. Et ses frères sont des amours, j’adore la relation qu’elle entretient avec eux, qui s’est développée entre les deux tomes.

L’intrigue de ce livre est prenante et l’histoire prend un tout autre tournant. Mais.. Je trouve que l’autrice a alourdi son texte pour rien. Beaucoup de scènes ou d’actions auraient pu être évitées, ils rajoutent des longueurs et certains passages sont ennuyants. Le rythme n’est pas vraiment régulier, malgré ça j’ai aimé ma lecture.

Ma note : 4,5 /5

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⇒ Côté des mangas

From the red fog de Masae Nahara 

Genre : seinen, gore, psychopathe, tueurs, 19e, Angleterre.

Édité chez Panini manga.

Résumé : 

Ruwanda vient d’intégrer le Syndicat du crime. Sa rencontre avec May, un autre membre de l’organisation, le déconcerte au plus haut point. Il n’arrive pas à comprendre la relation fusionnelle qui la lie avec son fils Kevin. Un amour maternel qu’il n’a jamais connu… Mosae Nohara, le dessinateur du manga BEM, exprime tout son talent pour le genre horrifique dans From the Red Fog, un manga aussi angoissant que captivant. Il nous transporte dans l’Angleterre du XIXe siècle via le jeune Ruwanda.

Mon avis :

Nul, chiant, horrible, ennuyant, flippant. Voilà comment je qualifierai cette lecture. Franchement, j’ai été gentille de lui mettre 2/5 parce que ça partait plus vers le 1 normalement. Les seules choses que j’ai aimées ce sont : le style de dessin et l’ambiance du livre. J’adore les histoires qui se passent au XIXe siècle donc ça a rajouté un point en plus. C’est d’ailleurs pour cela que j’avais acheté les deux premiers tomes…

Le pire est que j’ai détesté le premier tome qui m’avait mis profondément mal à l’aise avec le protagoniste totalement taré… Alors pourquoi est-ce que j’ai lu le deuxième ? Pour lui donner une deuxième chance et surtout parce que je l’ai acheté comme une débile avant d’avoir lu le premier tome…

Bon, pourquoi je n’ai pas aimé ? La raison : le protagoniste. Il est insupportable avec ses pulsions de meurtres et son caractère de loup solitaire : “gngngngn j’ai besoin de personnes pour tuer des gens, les autres sont trop nuls, moi je suis le plus fort et intelligent gngngn”. L’envie de lui donner des baffes était présente à chaque page. Plus, j’ai trouvé l’intrigue nulle, sans intérêt, et je ne me suis attaché à aucun personnage.

Après, je ne pense pas que se soit véritablement un mauvais livre, je ne suis juste pas le bon public. Je déteste le gore quand on n’en a pas besoin et franchement les délires psychopathes ce n’est pas mon truc. Peut-être, le protagoniste aura un meilleur développement à la suite de l’histoire, mais je ne lirai pas les prochains tomes.

Ma note : 2/5

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De l’autre côté du miroir de Eight Hisamatsu 

Genre : Yaoi, romance, fantastique,

Résumé :

Un jour, le descendant de la famille Senba, Kira, prodige de l’art floral, bascule dans un “monde différent”, où les fleurs sont magnifiques, alors qu’il s’approchait de son miroir. Dans ce monde, il fait la connaissance d’un homme, vêtu de bleu foncé. Les deux jeunes hommes se trouvent beaucoup se similitudes et petit à petit, bien que méfiant et un peu rebuté par l’air hautain du “prochain roi”, Kira finit par lui ouvrir son cœur. Un voyage amoureux entre “ici” et “là-bas” !

Mon avis :

Cette fois-ci, il s’agit d’une relecture ! Je l’avais passée à ma meilleure amie (car elle est autant fan que moi des BL’s…) et elle a kiffé ! Donc ça m’a donné envie de le redécouvrir. Et franchement, je n’ai pas été déçue !

Tout d’abord, le style graphique est juste magnifique. Que ce soit les décors ou les personnages, je trouve qu’ils sont parfaitement bien dessinés. C’est tout à fait le style que j’adore dans un manga. Plusieurs pages tapent à l’œil !

Les personnages, quant à eux, sont intéressants et attachants. J’ai aimé voir l’évolution de leur relation ainsi que leurs histoires. L’univers aussi est dingue, entre le Japon et le pays de Shâra, les deux sont captivants bien que j’aurais aimé que ce soit plus expliqué et développé.

Le seul défaut que je peux citer, c’est qu’il aurait fallu un deuxième tome pour bien développer l’histoire, car je trouve que beaucoup de choses sont bâclées.

Ma note : 4/5

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⇒ Côté Bd

Avatar le dernier maître de l’air (tome 2) – La recherche de Gene Luen Yang

Genre : aventure, amitié, magie, quête de vérité et esprit.

Édité chez Hachette.

Résumé :

Zuko est déterminé à lever le voile sur les secrets qui empoisonnent sa famille. Il propose donc à sa sœur Azula de lui rendre la liberté si, en contrepartie, celle-ci accepte de l’aider à faire toute la lumière sur le mystère de la disparition d’Ursa, leur mère. Pour mener à bien cette quête il va bien évidemment faire appel à ses fidèles amis, Aang, Sokka et Katara.

Mon avis : 

Sans réelle surprise, j’ai adoré ma lecture. Étant une grande fan de “Avatar le dernier maître de l’air”, je suis OBLIGÉE de lire les BD qui suivent après la série. J’avais lu le premier tome il y a un moment et j’avais aussi adoré, je ne sais pas vraiment pourquoi j’ai pris autant de temps à acheter le deuxième tome alors que c’était celui que j’attends le plus…

L’histoire de la mère de Zuko est l’un des plus grands mystères de la série animée, alors j’avais qu’une hâte lorsque j’avais enfin la BD en main : la lire. Et franchement, je n’ai pas été déçue. Le passé de Ursa est très touchant, ses choix et ses contraintes m’ont fait beaucoup de peine. Je me suis attaché à elle et j’ai aimé lire ce tome qui reste très centré sur Zuko (alias mon personnage préféré de tous les temps). L’évolution de sa relation avec Azula est chaotique, mais elle progresse tout de même petit à petit. On commence à voir le développement de Azula (enfin !). Cependant, je suis légèrement déçue de la fin qui aurait pu être largement meilleure à mon gout. Je la trouve bâclée et j’aurais aimé un peu plus de détails et de développements sur la famille de Zuko.

L’équipe de l’avatar est toujours aussi dynamique et attachante, j’ai adoré revoir les personnages. Dommage qu’il n’y ait pas eu Toph avec eux dans leur mission. Bien évidemment, Zuko reste mon chouchou d’amour après cette lecture. Je crois très sérieusement que personne ne peut me le faire détester, c’est le personnage avec le meilleur développement possible.

Ma note : 4.5/5

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Avatar le dernier maître de l’air (tome 3) – Le désaccord de Gene Luen Yang

Genre : aventure, esprit, amitié, magie et négociations.

Édité chez Hachette.

Résumé :

Alors que la terre sacrée est souillée, que l’esprit géant est en colère et que Toph retrouve son père, l’Avatar doit, lui, faire face aux erreurs du passé.

L’Avatar Aang et ses amis entreprennent un voyage pour célébrer une fête traditionnelle des nomades de l’air qui n’a plus eu lieu depuis près de cent ans. Lors de ce périple, Aang, contacté par l’esprit de l’Avatar Yangchen, découvre avec stupeur qu’une raffinerie a été construite sur la terre sacrée où doit se dérouler
le rituel. Cette implantation sauvage va déclencher la colère du vieux général de fer, un esprit aussi ancien que puissant…

Mon avis : 

Après le deuxième tome, j’ai pu enchainer avec le troisième qui trainait dans ma pile à lire depuis bien trop longtemps… Contrairement à La recherche, je n’ai pas autant aimé ce tome-ci, bien que j’ai passé un agréable moment à le lire !

Je suis un peu triste que Zuko ne soit pas présent dans cette aventure… (oui oui la fangirl de service), mais il y a Toph ! J’ai aimé l’intrigue de ce tome et les nouveaux personnages, tels que Satoru qui est adorable (dommage qu’on n’ait pas beaucoup d’infos sur lui). Je dois admettre que Toph m’a un peu agacé dans cette histoire, cependant je comprends son point de vue et son raisonnement. De toute façon, je suis incapable de détester n’importe quel personnage de la série… (à part Ozai bien évidemment).

J’ai trouvé certains passages un peu longs, je n’étais pas autant à fond qu’avec La recherche. L’histoire des esprits est intéressante et j’ai aimé en découvrir un peu plus sur l’avatar Yangchen qui m’intrigue énormément.

Ma note : 4/5

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⇒ Côté des manhwas

Dangerous convenience store (tome 1 & 2) de 945

Genre : Boy’s love, tranche de vie, grumpy & sunshine.

Édité chez KBl.

Résumé : 

Pour payer ses études et les frais d’hospitalisation de son frère, Yeo Euijoon travaille de nuit dans une supérette pas comme les autres : elle est uniquement fréquentée par des escrocs, des bandits et autres voyous en tout genre. Face à cette clientèle singulière, l’étudiant doit constamment s’armer de sang-froid. Mais lorsqu’il rencontre  Beom Gunwoo, un mystérieux mafieux du quartier, impossible de rester de marbre ! D’autant plus que ce dernier semble lui porter une attention toute particulière et Euijoon ne pense pas pouvoir lui résister.

Mon avis : 

J’ai aimé relire ce manhwa qui m’avait beaucoup plu il y a deux ans lorsque je l’ai découvert en ligne ! J’ai été surprise de voir qu’il était sorti en version papier alors je me suis empressé de l’acheter.

Donc, j’ai apprécié, mais.. il y a quelques points qui m’ont gêné dans la lecture que j’avais complètement oubliée. Déjà, ce qui m’a le plus surpris c’est la rapidité de la relation. Dès le premier tome, les deux protagonistes couchent ensemble, et il y a même eu quelques scènes érotiques avant celle-ci… Bien que ce genre de scènes ne me gênent pas spécialement, j’avoue avoir été prise au dépourvu… Et le PIRE… c’est que ce n’est pas censuré… Je peux vous dire que j’ai été TRÈS surprise en le découvrant.

Pour ce qui est des personnages, je les ai adorés. Même si nous restons dans le schéma classique du “grumpy & sunshine”, ce qui veut dire un personnage grognon de la vie et un tout joyeux, j’ai tout de même réussi à m’attacher à eux. Nous n’en apprenons pas beaucoup sur Beom Gunwoo dans les deux premiers tomes, mais je me rappelle l’avoir adoré lorsque j’avais fini le manhwa. J’aime son côté affectif derrière sa carapace de mafieux effrayant et imposant. Yeo Euijoon m’a fait beaucoup rire, les situations absurdes et les malentendus des deux sont hilarants.

En bref, j’ai bien aimé et je m’achèterai la suite. Mais les scènes de cul m’ont dérangé, car cela aurait pu arriver plus tard et être moins explicite.

Ma note : 4/5

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No love zone de Danbi 

Genre : Boy’s love, collègues to lovers (oui j’ai inventé une trope), grumpy & sunshine.

Lu en ligne.

Résumé : 

Lee Eun-Kyeom est un employé de bureau tout ce qu’il a le plus normal. Très social et populaire, il a toujours été entouré d’amis et n’a eu aucun mal à se faire adopter par ses collègues. Malheureusement, quand il s’agit d’amour il n’a jamais été chanceux et cela ne semble pas près de changer. Son nouveau coup de foudre n’est personne d’autre que son démon de chef et pire encore, ce dernier semble avoir des comptes à régler avec lui !

Mon avis :

Comme “Dangerous convenience store”, j’ai lu pour la première fois “No love zone” à la même période (j’étais à fond dedans). Je me rappelai l’avoir aimé alors vu que je ne savais pas quoi lire comme BL’s et que tout ce que je cherchais n’était pas disponible, j’ai opté pour celui-ci. Est-ce que j’aime cette histoire autant qu’avant ? Oui et non.

Oui parce que je me suis attaché aux protagonistes qui sont eux aussi assez stéréotypés, mais qui restent au fond attachant. Et puis, des fois les clichés c’est bien… J’ai apprécié leur relation qui se forme assez vite et reste mignonne et affectueuse. J’ai aussi adoré les jumeaux, leur bonne humeur et leurs piques m’ont fait beaucoup rire, ils rajoutent une petite touche de mignonnerie à l’histoire. De ce qui est du scénario de base, il reste simple et prévisible, ça ne casse pas trois pattes à un canard en gros. C’est cool, mais un peu trop cliché à certains passages. J’ai trouvé que l’histoire tournée un peu en rond au milieu du récit et c’est dommage.

Encore une fois, c’est le sexe qui a gâché l’histoire. OK c’est bien d’en avoir de temps en temps, mais l’auteurice n’a pas dosé à partir du milieu. Je les ai passés tellement ça m’intéressait plus et la plupart du temps, elles sont longues et explicités. C’est vraiment dommage, car je trouve que ça enlève du charme à l’histoire quand il y a trop de scènes de sexes.

Ma note : 3.5/5

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Guiding Hazard de MasterGin, Chungnyun et Sunsun

Genre : Boy’s love, fantasy, guideverse.

Lu en ligne.

Résumé :

Lee Tae-gun est le meilleur esper du pays, un homme doté d’une puissance lui permettant de venir à bout des donjons menaçant la population. Et comme tout esper, l’utilisation de ses pouvoirs déclenche des effets secondaires que seul un guide peut atténuer. Cependant, Tae-gun, obstiné, refuse catégoriquement d’être guidé, même s’il s’agit de Seo Eun-Sung, l’un des meilleurs dans sa catégorie. Malgré sa résistance, Eun-sung  est tout aussi déterminé. Pour la santé de Tae-gun, il deviendra son guide, que cela lui plaise ou non ! Lequel des deux sera le premier à céder ? Et si l’amour s’invitait dans la partie ?

Mon avis :

Contrairement aux deux autres, je ne connaissais pas du tout cette histoire avant d’être tombé sur des tiktoks dessus ! Le style de dessins m’a attiré l’œil et j’étais en pleine recherche d’un nouveau Bl’s.

Pour commencer, je ne connaissais pas du tout le “guideverse”, cela ressemble beaucoup à “l’omegaverse”, mais en mieux je trouve, c’est moins gênant. Ça se déroule dans un univers un peu plus fantastique où des personnes sont dotées de pouvoirs qui leur servent à vaincre des “donjons” (en gros, c’est comme des portails qui les mènent à des endroits dangereux si j’ai bien compris…) Mais ces pouvoirs créent des effets secondaires, qui sont à peu près la même chose que les “chaleurs” chez les omégas, et seul un guide peut les apaiser. C’est assez étrange comme univers, mais j’ai aimé le découvrir !

Je me suis très vite attachée aux protagonistes, surtout Tae-gun qui cache un triste passé avec sa carrière d’esper. Or nous n’avons pas assez d’informations sur eux sur les seuls chapitres disponibles pour le moment. C’est dommage, car j’aurais aimé un peu plus de développement sur les personnages et leurs histoires, néanmoins, je pense, cela va être plus expliqué dans la deuxième partie. Même l’animal de compagnie de Eun-sung a su me plaire par son humeur et sa mesquinerie. Sa détermination à vouloir faire évoluer la relation entre les deux protagonistes m’a fait beaucoup rire.

Les trente premiers chapitres de ce manhwa ont su me mettre l’eau à la bouche et je suis frustrée de ne pas avoir la suite ! Je pense vraiment que cela peut être un de mes préférés si la prochaine saison est bien exécutée et sans red flag comme la première !

Ma note : 4/5

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