le carnet de bord de Bidib, mercredi 24 septembre 2025

le carnet de bord de Bidib, mercredi 24 septembre 2025

24 septembre 2025 0 Par Bidib

Hello. Comment allez-vous ? L’arrivée de l’automne vous réjouit-elle ou faites-vous partie de la team été ? Pour ma part je suis ravie de voir enfin les températures baisser et les feuilles se colorer. À chaque balade, je ramasse quelques marrons, glands, feuilles mortes… Je suis comme un enfant qui saute dans les flaques et se remplit les poches de trésors.

James Tissot, Holiday, vers 1876

Et qui dit automne dit ? Retour de mon challenge préféré !!!!

Les portes du manoir hanté sont ouvertes ! Rendez-vous chez Hilde et Lou pour en savoir plus sur les réjouissances au programme de cette 16eme édition

Je vais profiter de ce week-end pour passer en mood automne avec au programme tourner ma vidéo projets d’automne sur mes aiguilles et préparation de ma PAL/liste d’envies pour le challenge Halloween.

Mais avant de plonger la tête la première dans le challenge, faisons un petit point sur mes encours :

Lectures

Résumé : Quels choix s’offrent à une jeune femme de trente-huit ans qui se remet d’une sévère dépression ? Celui de Polly est de s’envoler pour Londres, vers une nouvelle vie. En réalité, la seule vraie raison de son installation en Angleterre c’est Hot File, un groupe de rock qu’elle suit avec passion. Alors qu’elle réfléchit à une stratégie pour approcher le chanteur sans passer pour une folle furieuse, Polly devient soudain la cible d’un odieux chantage qui risque de compromettre sa carrière et ses désirs personnels. Serait-ce la fin de la parenthèse anglaise ? Ou le début d’un chapitre inattendu : celui auquel Polly, sans jamais oser y croire, a toujours aspiré ? (source livraddict)

Je vous ai longuement parlé de la fille derrière l’écran la semaine dernière, j’ai eu beaucoup de mal à me motiver pour la continuer, mais finalement je me suis forcée et j’ai lu quelques chapitres de plus mardi (il m’a accompagné durant mes trajets de trains) et si une fois refermé, je peine à y retourner, je dois avouer qu’une fois que je suis dedans, je passe un bon moment. Les personnages ne me plaisent pas spécialement, mais je suis curieuse de savoir comment ils vont se sortir de la situation rocambolesque dans laquelle ils se retrouvent. Je crois que j’ai passé le cap où, maintenant j’ai envie de connaitre la fin.

Résumé : associant ancienne spiritualité occidentale, travail énergétique, et psychologie, Le Grand Œuvre est un guide pratique de transformation personnelle, saison après saison. Apprenez à être vraiment holistique en incorporant dans votre vie des pratiques physiques, émotionnelles et énergétiques essentielles à des moments où les cycles naturels sont en harmonie avec votre parcours intérieur. Le Grand Œuvre capture l’essence de chaque festival, avec huit thèmes clés qui recouvrent le cycle annuel ; un cycle qui reflète le développement et l’expérience de l’être humain. Vous découvrirez comment Yule peut soulager une enfance douloureuse, comment Beltane peut faciliter des relations conscientes et comment Mabon peut vous aider à déterminer le but de votre vie. Laissez-vous guider par des questions quotidiennes, des méditations sur les éléments, et la technique de guérison énergétique propre à l’auteur, le Hynni. Ce livre vous sera d’une aide précieuse dans votre voyage d’alchimie intérieure, et vous aidera à développer une connexion plus intime avec le pouls de la Terre, pour créer en vous équilibre et harmonie. (source livraddict)

Je continue également ma lecture du grand œuvre de Tiffany Lazic, en prenant le temps de faire chaque soir le petit travail introspectif qu’elle suggère. Je saute juste les méditations qu’elle propose parce que j’ai besoin d’être guidée par une voie pour méditer, sinon je n’arrive pas à me concentrer. Même avec une voie ce n’est pas toujours facile de ne pas penser à la liste de courses et autre pensées parasites, alors livrée à moi-même, ce n’est même pas la peine d’essayer.

Résumé : 1815. Napoléon Ier a conquis l’Europe grâce aux pouvoirs d’Élégast, un sorcier dont nul ne sait rien et qui est le seul capable de pratiquer l’Art Obscur : une forme de magie aussi puissante que terrifiante.
En dépit de la force militaire de la France, la population vit dans la crainte des bulles noires, ces manifestations surnaturelles violentes qui engloutissent les gens et libèrent des hordes de monstres semant la mort dans les campagnes.
Ludwig Arcerese, un mercenaire qui a tout oublié de son passé, s’est spécialisé dans la traque de ces créatures. Lorsqu’il croise la route d’Éthelinde Ordant, une étrange naturaliste recherchée par toutes les polices de l’Empire, celle-ci ne peut que constater l’impossible : Ludwig sait lui aussi faire appel aux forces de l’Art Obscur. Les deux marginaux vont unir leurs efforts afin de comprendre qui est cet effrayant sorcier, et quels sont ses noirs desseins.
Antique confrérie de mages, espions à la solde de l’étranger, mystérieuses entités ésotériques, comploteurs travaillant à la chute de l’Empereur, secte russe d’adorateurs d’un dieu sanguinaire… Chacun joue son rôle dans ce récit épique, les uns pour empêcher le monde de sombrer dans les ténèbres, les autres pour l’y plonger.

J’ai également continué l’audiolecture du dernier tome d’Ars obscura que j’écoute dans le train en crochetant. Comme j’alterne les deux romans, je n’ai pas avancé beaucoup dans ce dernier qui est très long (presque 21h d’écoute). J’aime beaucoup les personnages de cette saga, et il y en a beaucoup.

Bref, rien de nouveau par rapport à la semaine dernière. J’espère avoir terminé la fille derrière l’écran cette semaine.

Visionnages

Avec les filles nous avons regardé La Rebelle : les aventures de la jeune George Sand.

Synopsis : 1830. Afin d’échapper à son mari violent, Aurore Dupin fuit son château de Nohant pour Paris, en pleine effervescente romantique. Dans la capitale du début du 19e siècle, Aurore mène une vie de bohème et publie son premier roman, sous pseudonyme : George Sand est née. Première femme écrivaine à vivre de sa plume, elle enchaîne les succès littéraires et déchaîne les passions amoureuses. (source : SensCritique)

Une série en seulement 4 épisodes. Nous avons aimé, mais je déplore que l’accent soit autant mis sur ses histoires de cœur (et de cul) plutôt que sur ses idées. À chaque épisode, un nouvel amant ou amante et ses scènes de cul. Un peu trop à notre goût. Et si on parle beaucoup de ses aventures, les écrits et les idées sont un peu au second plan. J’aurai préféré l’inverse, qu’on fasse l’impasse sur les scènes dans la chambre pour nous parler plus de ses livres. Si on n’en a lu aucun (moi j’ai dû en lire un quand j’étais au collège, ça remonte) on n’en apprendra rien sur sa plume, son style, etc. Cependant c’est intéressant de la voir se battre pour s’imposer dans le monde de la littérature où elle n’est pas prise au sérieux à cause de son sexe.

Sur un registre totalement différent et pour répondre à mon addiction pour les séries policières, je suis en train de regarder : My life is murder, une série australienne sans grande prétention. Je ne sais pas si cela peut être qualifié de cosy mystery, en tout cas c’est une de ces séries policières avec des meurtres, certes, mais sans suspense, où l’on mène les enquêtes tranquillement. La série n’a rien de particulièrement remarquable, mais j’aime l’ambiance générale et ces parfaits pour mes soirées tricot.

Synopsis : Alexa Crowe, une ancienne policière d’origine néo-zélandaise, travaille comme consultante pour la police de Melbourne. Elle enquête sur des affaires de meurtre non élucidées que lui transmet un ancien collègue, l’inspecteur Kieran Hussey. Elle est épaulée dans ses investigations par Madison Feliciano, une ancienne hackeuse entrée dans la police scientifique à seize ans pour éviter une inculpation. Veuve depuis quelques années, Alexa se change les idées en fabriquant du pain qu’elle livre au Reuben’s, mais sa nature d’enquêtrice ne tarde à ressurgir et la voilà replongée dans des affaires de meurtres et de crimes les plus déroutants. (source : allociné)

Et voilà pour ce carnet de bord. On se retrouve bientôt pour d’autres aventures livresques (mais pas que !)

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