AMV :anime music vidéo (vidéoclip d’anime) fait à partir d’images tiré d’un anime (ou d’un jeu vidéo) avec comme bande son une musique qui n’a rien à voir avec l’anime d’origine.
Anime : (アニメ) terme japonais qui signifie « dessin animé ». Couramment utilisé pour désigner les dessins animé japonais, tout comme on utilise le terme cartoon pour parler des dessins animés américains.
Anime comics : (アニメコミックス) bande dessinée qui reprends les images (couleur) d’un anime auxquelles on ajoutes des bulles avec les dialogues.
Art-book : livre réunissant dessins, crayonné et information sur le travail et l’univers d’un manga ou film d’animation.
Bara : (薔薇) pendant homosexuel du hentai. Le bara est un manga pornographique écrit pas des hommes gay pour des hommes gay, contrairement au yaoi qui s’adresse principalement à un public féminin, et le plus souvent écrit pas des femmes. Il est aussi appelé Mens’ love (メンズラブ ), abrégé ML.
Bishôjo : (美少女) pendant féminin du bishônen, le terme signifie « belles jeunes filles ». Ce genre de personnages est courant dans les shônen, notamment dans le genre harem.
Bishônen : (美少年) Beau garçon androgynes que l’on trouve fréquemment dans les shôjo, shonen-ai et yaoi.
Hakuoki (anime)
Boys’ love : abrégé BL, désigne les manga mettant en scène des histoires romantiques et/ou sexuelles entre hommes à destination d’un publique féminin. Voir définition du Yaoi. Si on France on privilégie cette dernière appellation, au Japon on parle plutôt de BL.
Bunkobon : (文庫本) terme japonais qui désigne la publication en format de poche (format A6, couverture souple).
Chara design : Le chara design, contraction de character design, est un terme anglais qui désigne le traitement graphique des personnages dans un anime ou jeu vidéo. Le chara designer peut se charger également de la définition psychologique des personnages.
Dôjin : groupes d’auteurs de manga amateurs.
Dôjinshi : (同人誌) ce terme désigne à l’origine des recueils édités par des amateurs. Aujourd’hui on l’utilise pour désigner des manga fait par des fan ou d’autres mangaka, reprenant les personnages d’une série existante, le plus souvent pour être détourné en yaoi ou shônen-ai, mais pas seulement. Les dôjinshi peuvent être également des parodies des séries existantes. C’est aussi une façon pour les mangaka débutant de faire leurs premières armes et éventuellement se faire remarquer.
Dôjinshika : auteur de dôjinshi.
Ecchi : (エッチ) mot japonais signifiant « indécent », « lubrique » ou encore « pervers ». Utilisé pour désigner des manga ou des anime à connotation sexuelle : postures sensuelles, dialogues à double sens, petites culottes en veux-tu en voilà, etc… La sexualité est souvent utilisé pour créer un effet comique. Ce style s’adresse surtout à un public masculin (shônen et seinen), mais il en existe quelques uns pour filles. Exemple : Ichigo 100%
Editeurs Japonais : dans le monde du manga japonais, les 2/3 du marché sont détenus par seulement trois éditeurs : Kodansha (講談社), Shûeisha (集英社) et Shogakukan (株式会社小学館).
Fan fiction : ce sont des récits écrits par des fan et reprenant des personnages et/ou l’univers d’un manga/anime ou jeu vidéo.
Fan service : contraction de « service rendu aux fan » autrement dit tous les détails qui ne servent pas directement l’histoire et dont le but est de faire plaisir au public, comme par exemple les tenue sexy.
Fansub : les fansub sont des animes qui ont été traduit et sous-titré par des fans, disponibles sur internet. En France, au vue des lois protégeant les droits d’auteur, la fansub est illégale.
Fujoshi : (腐女子) littéralement « fille pourrie » cette expression désigne les filles fan de yaoi.
Gekiga : (劇画) Manga dramatique des années 60/70 qui pourrait être considéré comme un sous-genre du seinen, dessin plus réaliste, histoires plus complexe s’adressant à un public adulte. Cependant gekigaka tiennent à différencier le gekiga du manga. Bien que très populaire dans les années 60/70, il existe toujours des auteurs spécialisé dans le gekiga. Exemples : L’âme du Kyodo (voir image), Golgo 13.
Gekigaka : (劇画家) auteur de gekiga.
Harem : sous-genre de shônen, voir la définition de Pantsu. Il existe également des shôjo harem ou l’héroïne, est entouré de beaux garçon qui tous ont un penchant pour elle.
Hentai : (変態) manga érotique ou pornographique. Si dans le manga ecchi la sexualité est fortement suggéré, dans le hantai les rapport sexuels sont explicites.
Japanimation / japanime : on utilise ce terme pour parler de l’animation japonaise.
Jidaimono : (時代物) nom donné aux manga historiques autrement dit les manga mettant en scène des samouraï comme Lone Wolf and Cub, mais aussi les manga prenant comme cadre une période de l’histoire occidentale comme La Rose de Versailles dont l’histoire se déroule en France.
Josei manga : (女性漫画) manga s’adressant au jeunes femmes adultes, pendant plus mature du shôjo. Les sujets traités sont souvent les histoires d’amour et les problématiques de la vie quotidienne. Aussi appelé redikomi. Exemple : Kids on the slope, Les fleurs du passé.
Kawaii : (可愛い ou en hiragana かわいい) terme japonais qui signifie « mignon ». On l’utilise pour qualifier des manga ou animes au graphisme… mignon (^_^)
Kodomo : (子供) kodomo signifie enfant, il est utilisé pour désigner les manga qui s’adressent à un public très jeune, comme par exemple Doraemon ou Pokemon.
Lemon : fan fiction à caractère érotique ou pornographique.
Light novel : (ライトノベル ) type de roman japonais destiné à un public de jeunes adultes ne dépassant pas le 40-50 mille mots, généralement agrémenté d’images. Comme les manga, les light novel sont pré-publié dans des revues, puis les chapitres réuni dans un livre format poche. Le style d’écriture est beaucoup plus simple que dans la littérature classique : paragraphes court, beaucoup de dialogues, furigana aidant la lecture des kanji) … Exemple : N°6
Lime : pendant moins trash du lemon.
Manga : (漫画) On attribue le terme « manga » à Hokusai qui l’aurait inventé au XIX pour désigner les carnet où il avait réuni des dessins d’animaux, monstres, figures grotesques… Aujourd’hui le terme désigne la bande dessinée japonaise.
Manga manbun : strip à l’américaine composé d’une seule case avec dessin à main levé et petit texte en commentaire
Mangaka : (漫画家) auteur de manga.
Mangashi : Les mangashi, contraction de mangazasshi (漫画雑誌), sont des revues spécialisés dans le manga, hebdomadaire, mensuelles ou bimensuelles, qui publient à chaque numéro un chapitre de plusieurs manga, c’est ce qu’on appelle la pré-publication du manga. En effet les manga sont d’abord publié un chapitre à la fois dans des revue, puis en album s’ils ont du succès. Exemple : Shônen Jump (voir image)
Magical girl : (魔法少女, Mahō shōjo) sous-genre de shôjo où l’héroïne possède des pouvoirs magiques. Exemples : Card Captor Sakura, Sailor Moon
Mecha : (メカ) contraction du terme anglais mechanical, ce terme désigne un genre de manga/anime particulier dont l’histoire tourne au tours de robot ou simili-robot. Exemple : Gundam, Code Geass
Moe : (萌え) ce terme est utilisé pour qualifier des personnages féminins de manga ou animes faisant naître un fantasme de protectionnisme chez un public masculin (surtout chez les otaku) : petites filles, petites sœurs…
Nekketsu : (熱血) signifie littéralement « sang bouillant », on l’utilise pour désigner un le type de construction classique du shônen : un jeunes héros au sang chaud (non, sans déconner ?), souvent orphelin ou à la recherche de son père, il poursuit une quête et rien ne serait l’en décourager, il est accompagné par une bande d’amis, souvent ce sont ses premiers adversaires, il est bon et honnête et défend des valeurs tel que l’amitié, le dépassement de soi, la justice. En gros la trame d’une bonne majorité de shônen. Exemple : Hunter x Hunter, One Piece, Fullmetal Alchimiste
Nemu : mot japonais désignant le « storyboard » d’un manga. Première étape, sous forme d’esquisse avec dialogue, que le mangaka présente à son éditeur avant de passer à la réalisation des planches.
OAV (Original Animation Video) : désigne les anime créés uniquement pour le marché de la vidéo au Japon (contrairement au série TV qui peuvent aussi sortir en DVD).
One-shot : ce dit d’un manga en un seul volume.
Opening/ending : Il suffit de baragouiner 2 mots d’anglais pour comprendre ces expressions, pourtant moi la première fois qu’on m’a dit « j’adore l’opening de machin bidule, et toi? » je suis restée perplexe, « Keske c’est ke ça?? » Alors voilà, si vous êtes comme moi, et que ça ne vous parle pas d’emblée, petite déf : un opening est la chanson qui ouvre l’anime, l’ending étant celle qui la conclu, autrement dit générique de début et de fin. Les opening et ending sont interprété par des groupes/chanteurs en vogue du moment, les paroles des chanson n’ont pas toujours de lien direct avec le contenu de l’anime.
OST : Original sound Track, soit la bande originale d’un film, anime, jeu vidéo.
Otaku : Le terme signifie à l’origine « votre maison ». Ce terme à pris une connotation négative et aujourd’hui il désigne les personnes replié sur eux-même (asociales) qui ne vivent que pour leur passion : poupée, culte de l’idol (starlette japonaises), ordinateur, jeu vidéo… À fin de distinguer ces deux signification le terme otaku qui désigne les passionnés mono-maniaques est écrit en katakana (オタク). En France il est utilisé, à tort, pour désigner les fan de manga et d’anime japonaise.
Pantsu : terme dérivé de l’anglais pants qui signifie culotte. C’est un sous-genre de shônen, une comédie romantique où le héros, maladroit et travaillé par ses hormones, évolue dans un univers féminin, entouré de filles plus jolies les unes que les autres, autrement dit d’un harem. Il se retrouve souvent dans des situations embarrassantes nez à nez avec une jolie fille en tenue légère. On parle également du genre harem. Exemple : Love Hina
Pré-publication : Au Japon, les manga sont pré-publié dans des magasines spécialisés (mangashi), un chapitre à la fois. Selon le succès rencontré, le manga sera ensuite édite sous forme d’album.
Redikomi : (レディコミ) contraction de redisukomiku ( レディースコミック) qui vient de l’anglais Ladies comics. Désigne les manga pour femme adultes, voir la définition de josei.
Romance : sous-genre de shôjo mettant en scène une jeune fille amoureuse du prince charmant (pas toujours très charmant d’ailleurs).
Scantrad : c’est un manga qui a été numérisé (scanné) et traduits par des fans. Les scantrad sont souvent disponibles en téléchargement ou lecture en ligne gratuitement. Mais attention, la scantrad est illégal dans la plupart des pays qui ont des lois protégeant les droits d’auteur, ce qui est le cas en France.
Seinen manga : (青年漫画) Le seinen est un manga s’adressant à un public masculin adulte. Le graphisme est plus réaliste et les scénarios adapté à un public mature. Exemples : Real, Les fils de la terre, Je ne suis pas mort
Seiyû : (声優) Comédiens japonais spécialisé dans le doublage d’anime.
Seijin : (成人) Manga pour hommes adultes.
Seme : terme emprunté à la terminologie sportive utilisé pour désigner le partenaire actif dans un couple gay.
Shitei : nom donné au manga humoristiques tout publique.
Shôjo manga : (少女漫画) manga qui s’adresse à un public de jeunes filles. Les histoires sont le plus souvent ambianté dans des collèges et lycées, les intrigues tournant au tours des sentiments amoureux, mais pas toujours. Il existe de nombreux sous-genres. Exemples : Nana, Fruit Basket, Library wars
Shôjo-ai : (少女愛) Le shôjo-ai met en scène des histoires romantiques et souvent platoniques entre jeunes filles.
Shônen manga : (少年漫画) Le shônen s’adresse aux jeunes garçon, la trame typique du shônen est une quête initiatique d’un héros qui désire devenir plus fort, accompagné par une bande d’amis. Mais là encore il existe de nombreux sous-genres. Exemples : Dragon Ball, Bleach, One Piece, Naruto pour ne citer que des grand classiques, pas forcement ce qui se fait de mieux… NON ! Pas les tomates pourries, je retire ce que j’ai dit. Il existe d’autres séries moins connues mais très intéressantes. Voilà, c’est mieux comme ça ^^
Shônen-ai : (少年愛) tout comme le shôjo et le shôjo-ai, les histoires sont le plus souvent ambianté en collège et lycée (mais pas toujours) et mettent en scène des histoires romantiques et plus ou moins platoniques entre 2 jeunes hommes. Exemple : Gravitation. Dans le shônen-ai il n’y a pas de scènes explicites. Le terme, utilisé dans les années 70 est devenu désuet, on lui préfère le terme de Boys love, tout comme pour le yaoi. C’est du soft Boys love par opposition au hard Boys love montrant des scènes de sexe explicites.
Shonen Jump : (少年ジャンプ) une des revue de manga (mangashi) les plus populaires du Japon. Ils sont spécialisés surtout dans le Shonen, comme le nom l’indique ; )
Spin-off manga : série dérivé d’une autre et utilisant le même concept et/ou les mêmes personnages, souvent un des personnages secondaires de la série principale.
Spoiler : terme qui vient du verbe anglais to spoil, gâcher. On l’utilise pour décrire un passage qui divulgue un élément clé de l’intrigue est pouvant gâcher la lecture/visionnages de ceux qui ne connaissent pas encore l’oeuvre dont il est question.
Story-board : découpage sous forme de crayonnés d’un anime ou d’un film d’animation qui permettent de visualiser les plan à tourner.
Story manga : le mot sert à désigner les manga dont l’intrigue se développe sur plusieurs chapitres, voire plusieurs tomes. Les premier manga étaient en effet des histoires courtes. Le premier manga a se développer sur plusieurs chapitres fut Hito no ishhô (la vie d’un homme) de Okamoto Ippei, mais le story manga est devenu populaire surtout après la deuxième guerre mondiale, notamment grâce à Tezuka, maître du genre.
Suiri : (推理) manga policier. Exemples : Detective Conan, Q.E.D.
Tankôbon : (単行本) terme japonais désignant la publication en format semi-poche, plus grand que les bunkobon.
Tie up : on appelle tie up une chanson qui est choisie pour servir de générique à un anime.
Uke : terme emprunté au sport et qui désigne le partenaire passif dans un couple gay.
Yaoi (Boy’s love/ BL) : (やおい ou ボーイズラブ) Comme dans le shônen-ai, le yaoi met en scène des histoires d’amour entre homme. La différence étant que les personnages du yaoi sont souvent plus mûrs et il y a des scènes de sexe plus ou moins explicites, voire très explicites. Le yaoi et le shonen-ai s’adressent principalement à un public féminin et sont écrit par des femmes. De nombreuses mangaka débutent dans le yaoi afin de se faire remarquer avant de rediriger leur carrière vers d’autres genres. Exemple : Seul la fleur le sait, Le jeu du chat et de la souris. Le terme de yaoi, anagramme de « YamA nashi, Ochi nashi, Imi nashi » (pas de climax, pas de chute, pas de sens) est un terme auto-dérisoire utilisé dans le monde du dojinshi. Au Japon on lui préfére l’appellation Boys love, ou simplement BL, le yaoi faisant référence au travail amateur, alors qu’en France et outre-Atlantique on préfère le terme yaoi, moins connoté.
Yonkoma : (四コマ) manga en 4 cases, le plus souvent humoristique, équivalent du comic strip. Exemple : Mes voisins les Yamada
Yuri : (百合) Manga mettant en scène des relations amoureuses entre femmes. Tout comme le yaoi, le yuri est plus explicite alors que dans le shôjo-ai la sexualité n’est que sous-entendue.
Lexique Manhwa et Manhua :
Hanji manhwa : manhwa d’aventure ambienté en occident typique des années 50.
Manhua : bande dessinée chinoise.
Manhwa : Bande dessinée coréenne.
Manmun manhwa : manhwa en une seule case.
Myeongrang manhwa : manhwa humoristique pour adultes.
Sonyung manhwa : manhwa qui s’adresse à un jeune public masculin, équivalent du shônen japonais.
Sunjeong manhwa : manhwa pour jeunes filles, équivalent du shôjo japonais.
Tshungnyun (chungnyun) : manhwa s’adressant à un public plus mature, équivalent du seinen japonais.
Sources :
J’ai retiré une première liste de mots à la lecture des ouvrages dont je me suis servie pour rédiger l’article Le Manga (voir bibliographie à la fin de l’article).
Je la complète au fur et à mésure de mes lecture dans les revues spécialisé et puis aussi grâce à mes amis wikipedia et google.
Dans la mesure du possible j’essaye de recouper les info pour livrer une définition aussi précise que possible. Si vous constatez cependant des erreurs ou des définitions incomplètes, n’hésitez pas à m’envoyer un petit MP pour que je rectifie.
Sore jaa, mata !
Rien à voir avec les manga, mais je conseille la lecture de se petit dico publié sur LivrOns-nOus aux nouveaux venus dans la blogosphère :
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Bonne idée d’article ! Ca pourra en aider plus d’un ahah.
moi au début je comprenais rien au chroniques manga, du coup je me suis dis que ça pouvait être sympa de réunir tous les mots que j’avais du chercher 😀
[…] c’est la façon dont est décrite l’amitié entre Gilgamesh et Enkidou. En bonne fujoshi j’ai tout de suite vu le potentiel de fous qu’on tenait là pour un p** de yaoi ! […]
[…] (*) trouvez ici les définitions des termes spécifiques au manga […]