Grands et petits écrans #9 – bilan de la semaine

7 novembre 2019 4 Par Bidib

C’est l’heure du bilan ! Encore une semaine bien remplie.

Série TV

Je continue sur la thématique Halloween 🙂

Affiche iZombieIZombi, saison 2, épisodes 1 à 9

Résumé : la saison 2 délaisse les enquêtes policières au profit de l’intrigue principale articulée au tour des zombis et de leur existence. Ceux à l’origine de leur apparition veulent les faire disparaître, et pour ce faire ils veulent utiliser quelqu’un de très proche de Liv. Quant à Liv elle continue d’espérer que son ami et patron arrive à trouver un remède.

Mon avis : ce que j’aimais bien dans la série c’était justement qu’on détourne la figure à la mode du zombi pour en faire une série policière. Des enquêtes avec une bonne dose de fantastique, voilà l’intérêt de la série. Du coup, avec la saison 2 j’y trouve plus tellement mon compte. Ça reste sympa à regarder, mais j’ai préféré la première saison. Par contre je m’amuse beaucoup du jeu d’actrice de l’héroïne qui change radicalement de comportement après avoir mangé un nouveau cerveau. Je me dis que ça doit marrant à jouer.

Affiche ShadowhuntersShadow Hunters, saison 3

Résumé : après avoir vaincu Valentin (je crois bien que je lui ai donné un autre nom dans un de mes précédents billets XD ), Clary et ses amis ont du affronter Lilith, reine des enfers et maman chérie de Jonathan, le frère diabolique de Clary. Mais faire disparaître Lilith ne fait pas pour autant revenir la paix, puisque Jonathan lui est de retour, plus fort que jamais. Et il fait une obsession malsaine sur sa sœur.

Mon avis :  Du drame en veux-tu en voilà ! Encore. Et comme d’habitude on en fait des tonnes. Clary et Jace encore séparés, comment en être ému puisque c’est la trois cents cinquantième fois ? De nouvelles histoires d’amour qui ne surprendront personne parce qu’on avait déjà deviné que ça finirait comme ça à l’épisode 2 de la saison 1… Bref cette nouvelle saison n’avait rien de particulièrement intéressant. Mais je suis quand même un peu triste d’avoir fini la série, parce que malgré le scénario pétri de trop grosses ficelles, de personnages plus caricaturaux les uns que les autres et d’acteurs pas franchement remarquables, j’ai aimé l’ambiance générale, le côté surfait et l’abondance de créatures fantastiques. Je prolongerais bien le plaisir en découvrant les romans, mais j’i un peu peur que tout comme la série, cela ne manque de finesse.

Affiche BittenBitten, saison 1, épisodes 1 à 6

Résumé : Elena vie un parfait amour avec son petit bourgeois à Toranto. Elle est belle, il est beau, tout va bien… oui, enfin excepté le fait qu’elle est un loup-garou et qu’il faut qu’elle fasse vraiment attention si elle ne veut pas se transformer devant lui. Sa vie bien tranquille risque d’être encore plus bouleversée quand Jeremy, le chef de la meute rappelle tout le monde à la maison. Elena va devoir prendre sur elle et retourner auprès de sa famille qu’elle avait quittée avec la ferme intention de ne jamais y retourner (pour des raisons que nous ne savons pas encore). La meute à besoin d’elle et elle a besoin de préserver la meute si elle ne veut pas détruire le délicat équilibre de sa vie.

Mon avis : C’est Tiphanya qui m’avait parlé de cette série alors que je me lamentais de ne pas avoir accroché à Teen Wolf, trop ado boutonneux pour moi. Et je la remercie. Ces premiers épisodes nous ont bien plu. C’est plutôt sympa et pour une fois les protagonistes sont tous adultes. Je n’irais pas jusqu’à dire qu’ils font preuve de maturité, l’héroïne à l’air d’une gamine pour le moment avec des préoccupations un peu puériles comme plaire à sa belle-mère, mais en même temps on peut comprendre que ça l’angoisse de pouvoir s’intégrer vu sa particularité. En tout cas j’ai aimé l’idée du départ avec une meute dispersé aux 4 coins de pays et même plus loin, mais qui se réunit à l’appel de l’alfa. Une solidarité qui oblige les plus récalcitrants à prendre part à la défense de la meute, menacée par un loup-garou errant qui risque de révéler leur existence au monde entier. On est aussi curieux d’en apprendre plus sur le passé d’Elena au sein de la meute. Pourquoi est-elle partie ? Et d’où vient la menace qui pèse sur la meute ? Cette histoire de loup errant n’est en rien due au hasard, quelqu’un menace la meute, pourquoi ?

Je vous mets la bande d’annonces, mais… je trouve qu’elle en dit trop. En une seule minute je viens de me faire spoiler quelques-unes des questions que je me posais…

Comment élever un super-héros, saison 1 épisodes 1 à 6

Affiche Comment élever un super-hérosRésumé : Nicole élève seule son fils Dion depuis la mort de son mari. Difficile d’élever seul un enfant, surtout quand on est en plein deuil et sans-travail. Les choses se compliquent encore plus quand Nicole découvre que son film a des pouvoirs extrasensoriels. Mais elle n’est pas seule pour faire face, Pat, le meilleur ami de son mari veut l’aider, quitte à devenir un peu envahissant parfois. Pat prends très au sérieux cette histoire de super-pouvoirs et se propose de devenir le mentor du jeune superhéros, après tout il est incollable question comics. En superhéros il y connaît un rayon.

Mon avis : notre nouvelle série familiale. Yomu-chan déteste Super Girl du coup il a fallu trouver quelque chose qui mette les deux soeurs d’accord, nous voilà donc avec une série de superhéros pour le moins originale, puisqu’il n’y a ni capes ni costumes, mais un enfant d’à peine 7 ans qui se découvre des pouvoirs incroyables. Il pourrait même devenir très dangereux. Les décisions que vont prendre les adultes qui l’entourent seront primordiales. De premiers épisodes prometteurs, une intrigue complexe, je sens qu’on va bien s’amuser.

Supergirl, saison 3, épisodes 18 à 23

Affiche Supergirlrésumé : la super méchante n’était pas vraiment vaincue, elle est de retour, ainsi que quelqu’un que l’on croyait mort depuis longtemps. Le combat continue, toujours avec la même rangeine, Supergirl ne veut tuer personne, même pas les super méchants. Et… l’histoire lui donne toujours raison.

Mon avis : elle m’agace !!!! Non sincèrement, je fais une overdose de bons sentiments. Supergils devient de plus en plus agaçante dans cette saison. Elle impose sa morale aux autres, se montre particulièrement tyrannique malgré le débordement de bonne morale chrétienne. Parce que franchement cette série distille de la bonne morale chrétienne à longueur d’épisodes. On a beau donner tout un tas de noms au dieu, selon qu’il soit martien ou cryptonien, personne est dupe, pas même Mimiko du haut de ses 11 ans, on a tous compris le message. Si c’était déjà présent dans les saisons précédentes, j’ai trouvé qu’ici on frise avec le prosélytisme. Heureusement que les messages du dieu suprême et bienveillant contre les forces du mal ne sont pas les seules à profiter de la série. Il y a aussi une jolie réflexion sur les armes, un sujet tout sauf anodin aux États-Unis. Mais bon il était temps qu’on arrive au bout de cette saison. J’en ai marre de la blondinette qui nous dit ce qu’il faut penser. Heureusement pour moi les saisons suivantes ne sont pas dispo sur Netflix, je vais pouvoir faire une pause.

Films

Retour vers le futur

Affiche Retour vers le futurRésumé : Marty, un jeune lycéen, fricote avec un savant fou. Il se retrouve, suite à une expérience ayant dégénéré, coincé dans les années 50, trente ans avant son départ. Il rencontre ses parents, alors ado et sans le vouloir il sabote la rencontre qui aboutira à leur mariage. Avant de pouvoir repartir, il faut qu’il arrange ça où il risque de disparaître !

Mon avis : Je n’avais jamais vu ce film ! Je n’en reviens pas moi-même. J’en ai si souvent entendu parler que j’ai fini par croire que je le connaissais, mais non. Je ne l’avais pas encore vu. Et c’est plutôt une bonne surprise. Je m’attendais à ce que le film ait mal vieilli, comme beaucoup de films de genre des années 80, mais finalement j’ai trouvé qu’il vieillit très bien. Bon si on fait abstraction de la mode des années 80. Nous avons regardé ce film avec Mimiko. Elle aussi en a beaucoup entendu parler puisque les personnages de Big Bang Théory y font souvent référence. J’avais peur que le coté “années 80” combiné aux effets spéciaux de l’époque, soit rédhibitoires, à ces yeux. Finalement elle s’est laissé prendre aux jeux. Avant d’être un film de science-fiction, c’est une comédie légère à regarder en famille et de ce point de vue là ça n’a pas pris une ride. On a tous bien ri. On a passé une excellente soirée cinéma en famille.

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