Des chevaux et la steppe
Avec les albums jeunesse, Mimiko part souvent en voyage. Avec elle et ses livres nous étions parti au Brésil, en Afrique, au Japon et même à côté de la lune ! Aujourd’hui, les livres de Mimiko nous amènent dans la steppe, à la découverte des ses peuples et de ses chevaux.
Naadam :
En Mongolie, de grands troupeaux de chevaux, chèvres et brebis paissent dans d’immenses prairies, sans barrières ni clôtures. Les bergers sont nomades et voyagent tout au long de l’année, installant leur campements près des meilleurs pâturages.
Au mois de juillet, ils se rassemblent pour de grandes fêtes appelées Naadams.
Nous suivons un petit garçon, Namdjil, qui se prépare pour la courses de chevaux. Cette année il y participera avec son cheval couleur de miel. C’est son père qui a entraîné le cheval. Nara, jolie fille aux nattes noires y participe aussi. Namdjil aime bien Nara et il espère qu’il seront tous deux dans les 5 premiers.
Ce que j’en pense :
C’est une jolie histoire, pleine de tendresse, une touche d’humour et beaucoup de détails pour mieux connaitre la vie des nomades Mongols. Des petits encadré donnent même des explication supplémentaires pour les plus curieux. Le dessin, en revanche, n’est pas terrible. Un peu trop quelconque. Un livre plus éducatif qu’artistique.
Qu’en pense Mimiko ?
Mimiko a bien aimé ce livre, l’histoire des enfants et de la course l’as beaucoup intéressé. Cependant elle a prêté très peu d’attention au détails concernant la vie des nomades. Peut-être est-elle encore un peu jeune pour cette partie là.
Naadam
texte et illustration de Magali Bonniol
L’école des loisirs
2003
Douce – La promesse de l’eau
Au fond des steppes, au pays du grand ciel et du vent, vivent les Tamaks. Cette année-là, la sécheresse fait souffrir les bêtes. Un poulain, rejeté de tous, car il est né tacheté, se glisse un soir au milieu des chevaux autour du dernier point d’eau. Le hommes lui jettent des pierres. Douce, la bergère qui ne sait parler qu’aux bêtes, s’enfuit avec lui…
Ce que j’en pense :
Douce – La promesse de l’eau est un très joli conte sur la tolérance. Douce est une petite fille différente, elle ne sait pas parler. Elle vit à l’extérieur du cercle des yourtes, avec le troupeau de moutons noirs. Wou est un poulain à la robe pie. Chez les Tamaks les chevaux pie portent malheur, Wou et chassé violemment par les hommes. Douce et Wou vont partir ensemble, se lier d’amitié. Après avoir découvert une source d’eau, ils vont revenir vers la tribut pour partager avec les hommes et les bêtes assoiffées leur découverte. Ils seront alors accepté comme membres à part entière.
Contrairement au précédent livre, cet album n’a pas de vocation éducative, on n’apprend pas grand chose sur les Tamaks et leur mode de vie. On se concentre sur l’aventure de Douce et Wou. Un conte plein de douceur illustré par de très beaux dessins.
Ce qu’en pense Mimiko :
Tout comme moi, elle aime beaucoup cette histoire et elle est très heureuses de l’avoir dans sa bibliothèque pour le relire régulièrement.
Douce – La promesse de l’eau
texte et illustrations de Martine Bourre
Didier Jeunesse
2011
[…] Je n’ai pas de suite reconnu le nom (je ne reconnais jamais les noms des auteurs) mais il y avait dans cet album quelque chose de familier et, en regardant le travail de Martine Bourre, je me suis rendu compte que j’avais lu deux autres des ses albums et que je les avais aussi beaucoup aimés : La femme phoque et Douce, la promesse de l’eau. […]