Ces livres que je n’ai jamais terminé
Depuis la lecture du petit livre la Magie du rangement de Marie kondo, je n’arrête pas de trier mes affaires. Le mieux eu été de tout trier sur un plus brève période mais… j’ai pas le temps. Ou alors c’est juste une excuse. Faire du tri c’est douloureux, surtout quand on est du genre à tout garder comme moi, parce qu’on ne sais jamais… du coup j’avance petit à petit. De toute façon il y a pas d’urgence, je déménage pas demain (sig). Je procède par catégorie, comme préconise Marie Kondo. Les vêtement c’était facile mais les livres…. Il y en a tellement que j’ai divisé en plusieurs catégories. J’ai commencé par le plus facile : les revues. Deux tiers sont parti dans la rue (ça fera le bonheur de mes voisins). Suivi des livres pratiques (cuisine, jardinage, médecine naturelle…). J’ai fait des heureux (ou de étagères encombré) chez les amis. Puis ce fut le tour des BD franco belges (j’ai pas osé toucher à la collection de manga, je la garde pour la fin). Après distributions à mon entourage, il ne reste pas grand chose à “jeter” mais tout de même un peu de place de gagné. Enfin je me suis attaqué aux romans, littérature générale. Et là, c’était pas facile. J’ai une pile de 1.50 m de livres dans la catégorie “faut que je réfléchisse”, Marie Kondo serait là, elle me ferait tout jeter, mais dans une famille de librophages comme la mienne, j’ai pas envie de jeter pour racheter après. Il y a des livres qui intéresserons les nouvelles générations d’ici peu, ceux qu’ils devront étudier à l’école, ceux qui peuvent être utiles aux étudiants de la famille (petite pensée pour Yomu-chan actuellement en IUT métiers du livre qui a déjà pioché dans la bibliothèque familiale à plusieurs reprises pour sa formation), les classique que je me suis jurée de lire un jour mais que je ne lirais jamais…
Mais ce n’est pas de ces livres là que je vais vous parler aujourd’hui. On mettant de l’ordre dans mes étagères j’ai retrouvé une jolie pile de roman commencé et jamais fini. J’avais envie de les présenter ici et tenter de comprendre pourquoi je n’ai pas réussi à les lire.
La Guerre de nos jours lointains – Akira Yoshimura
C’est ma cousine, japonologue, qui me l’a prêté (il y a une éternité !). Je viens de le retrouver caché bien profondément dans les strates de livre qu’il faut que je lise (oui, oui, promis). Je n’ai même pas réussi à arriver à la moitié. C’est bon, je jette l’éponge, je ne le finirais jamais.
résumé : 15 août 1945, la défaite du Japon est consommée.
Au quartier général des forces armées de Kyushu, l’île du Sud-Ouest de l’archipel, ordre est donné par l’état-major d’abattre les derniers américains prisonniers. L’officier Takuya Kiyohara, fidèle à sa hiérarchie, se porte volontaire pour l’exécution. Quelques semaines plus tard, il est recherché pour crime de guerre. Une longue fuite commence, une errance fantomatique, hallucinée, au cours de laquelle il tente de se fondre dans l’anonymat de la population civile d’un pays occupé, anéanti par les bombardements et désormais humilié par les vainqueurs.
Sorti au Japon en 1978, ce roman posait pour la première fois la question des crimes de guerre. Il est aujourd’hui encore d’une remarquable actualité, et Yoshimura y est au sommet de son art : son écriture froide, distante explore le devenir d’un homme simple confronté à l’absurdité implacable d’une situation qui le brise en même temps qu’elle le conduit vers une forme de rédemption. (source : Babelio)
pourquoi je n’ai pas pu le finir ? L’ennuie ! Impossible de rester concentrée. Après seulement 2 pages mes paupières tombaient. Pourtant ça ne manque pas de tension. C’est la guerre, les bombardements et… je m’endormais à chaque fois que j’essayé de lire. J’ai beaucoup de mal avec se genre de littérature, je trouve que si ça ne manque pas de tension dans l’histoire, ça manque de rythme dans l’écriture et c’est très difficile à lire pour moi. Je n’arrive jamais à rester suffisamment concentré pour entrer dans l’histoire. Il n’y pas que ce livre, beaucoup de roman japonais m’ont fait cet effet. Le rythme et style ne me correspondent pas et malgré l’intérêt que je porte à l’histoire je n’arrive pas à avancer. ça me fatigue énormément et c’est très frustrant.
La Route – Cormac McCarthy
J’avais essayé de regarder le film mais j’ai pas pu. C’était trop pour moi. Mais j’avais trouvé l’idée de l’histoire intéressante. J’ai pensé que cela serait plus facile en livre.
résumé : L’apocalypse a eu lieu. Le monde est dévasté, couvert de cendres. On ne sait rien des causes de ce cataclysme. Un père et son fils errent sur une route, poussant un caddie rempli d’objets hétéroclites et de vieilles couvertures. Ils sont sur leurs gardes car le danger peut surgir à tout moment. Ils affrontent la pluie, la neige, le froid. Et ce qui reste d’une humanité retournée à la barbarie. (source : Babelio)
pourquoi je n’ai pas pu le finir ? Je m’en souviens même pas ! C’est dire que ça m’a marqué. La seule chose dont je me souvienne c’est que j’ai trouvé que ça ne tenais pas la route (oui, bon, c’est pas terrible comme jeu de mot). Au même temps j’en ai lu si peu, je me demande si je ne devrait pas lui redonner une chance. C’est le prix Pulitzer 2007, tout de même (au fait je m’en fout, je fais jamais gaffe aux prix).
Ma – Hubert Haddad
J’ai acheté ce livre après une rencontre avec l’auteur organisé par ma librairie préférées (enfin, la seule qui soit au centre-ville…). A la façon dont l’auteur s’exprimait j’aurais du me douter que je ne finirais pas ce roman. Son discours était chaotique et décousu. Incompréhensible.
résumé : « La marche à pied mène au paradis. » Ainsi s’ouvre Mā, roman japonais, à la croisée de deux destins et autour d’une même quête, la voie du détachement.
Shōichi porte en lui le souvenir de Saori, la seule femme qu’il ait aimée, une universitaire qui a consacré sa vie à Santōka, le dernier grand haïkiste.
Leur aventure aussi incandescente que brève initie le départ de Shōichi sur les pas de Santōka, de l’immense Bashō et de son maître Saigyō. Marcher, pour cette procession héroïque d’ascètes aventureux, c’est échapper au ressassement, aux amours perdues, c’est vivre pleinement l’instant ! « Le saké pour le corps, le haïku pour le cœur. »
Dans la lignée de l’inoubliable Peintre d’éventail, Hubert Haddad nous emmène sur les sentiers du Bout-du-Monde. Son écriture est comme la palpitation miraculeuse de la vie, au milieu des montagnes et des forêts, à travers le chant des saisons, comme un chemin sur le chemin. (source : Babelio)
Pourquoi je n’ai pas pu le finir ? Le rythme !! Je ne sais pas si c’est à cause de ma dyslexie ou simplement parce que je n’aime pas les auteurs qui s’écoutent écrire mais je veux du rythme, de la action, du peps… Et ici c’est tout le contraire. C’est assez confus, contemplatifs. On ne vois pas du tout où l’auteur veut nous amener où alors tout simplement c’est moi qui arrive pas à me concentrer parce que ce que le protagoniste raconte ne m’intéresse pas. Un gars paumé, une femme mystérieuse… On se croirait dans du Murakami, mais j’ai pas accroché. J’ai trouvé ça ennuyeux. J’ai même pas réussi à atteindre les 50 pages, c’est dire.
The seed and the sower – Laurens Van Des Post
J’ai acheté ce livre après avoir vu le film Furyo de Nagisa Ōshima avec David Bowie. J’avais beaucoup aimé le film, j’ai voulu en savoir plus.
résumé : This is war as experienced in a Japanese prisoner-of-war camp in Java in 1942, but, above all, war as experienced in the souls of men. What follows is the story of two British officers whose spirits the Japanese try to break. Yet out of all the violence and misery strange bonds of love and friendship are forged between the prisoners – and their gaolers. It is a battle of survival that becomes a battle of contrasting wills and philosophies as the intensity of the men’s relationship develops. (source : goodreads)
pourquoi je n’ai pas pu le finir ? Alors là ! ça fait une éternité que j’ai abandonné ce livre difficile de me souvenir. Je dirais parce que c’est en anglais et que je suis nulle pour lire de l’anglais. Je ne l’ai pas trouvé très facile à lire. Sans doute devrais-je le lire après une autre lecture en anglais plus facile, pour m’exercer le cerveau avant.
Passeurs d’espoir – Marie-Hélène et Laurent de Cherisey
C’est un cadeau de ma mère. Je sais pas si c’est un acte manqué ou une simple incompatibilité de goût mais je me rends compte que soit je ne lis pas les livres qu’elle m’offre, soit je n’arrive pas à les finir.
résumé : Notre terre ne tourne pas toujours très rond… Et cela peut faire peur : quel monde allons-nous laisser à nos enfants ?
Laurent et Marie-Hélène de Cherisey sont partis quatorze mois avec leurs cinq enfants, pour rencontrer des hommes et des femmes de toutes conditions qui, dans leurs pays, œuvrent à un monde plus juste. En famille, ils ont partagé quelques jours de la vie de chacun de ces bâtisseurs du XXIe siècle pour recueillir et filmer leurs histoires. Les Cherisey ont voulu découvrir avec leurs enfants le ” secret ” de ces personnes qui, face aux problèmes, ont dépassé leurs sentiments d’impuissance pour initier de profonds changements.
Dans ce volume qui retrace la première partie de leur périple, du Brésil au Vietnam, ils nous racontent le rêve de Rodrigo, qui a permis à 600 000 jeunes des bidonvilles d’accéder à l’informatique ; le combat décisif de Josefina, ancienne ” esclave domestique “, pour sortir les petites péruviennes de cet enfer ; le secret de Pisit en Thaïlande ou de Fabio au Brésil pour offrir un avenir meilleur aux millions de laissés-pour-compte de la modernité…
La famille de Cherisey se fait ici ” passeur d’espoir ” pour nous faire partager ces expériences et initiatives fabuleuses. Elle nous prouve que si la mondialisation effraie, elle peut aussi offrir un visage positif et un potentiel inenvisagé : celui de ces réponses d’envergure qui naissent tout autour de la planète et que six milliards d’êtres humains peuvent contribuer à développer. (source : Amazon)
pourquoi j’ai pas pu le finir ? Je l’ai dit, sans doute un acte manqué. Le sujet devrait m’intéresser et pourtant, je n’ai jamais dépassé la page 44 ! En réalité ce n’est pas le seul livre de se genre que je n’ai pas terminé. Finalement j’ai un peu de mal avec les témoignages et les récit de voyage. Sans doute pas assez romanesque à mon goût. La vraie vie des gens ne m’intéresse pas vraiment, à moins que la dite vie ne coïncide avec de fait historiques importants, ce qui n’est pas le cas ici.
Os olhos inocentes – Leandro Tocantins
Un livre que j’aurais du lire pendant mes années fac…
quatrième de couverture : Aqui está a Amazónia […] E eis que um menino contemplativo e timedo se confessa, num livro de breves capitulos. Antes de tudo, uma delicada natureza contemplativa. Mas o menino está só. Há o encontro dele com a imesidão da natureza física. Quase o duelo da sensibilidade agudíssima com o desmedido de água e florestas. A solidão e a selva. O menino é rigorosamente inocente. O livre vem a ser a restauração ou reconstituição da inocência, num ritmo de equilíbrio. Tudo aqui é transfigurado pela visão poética. E o rio imenso domina tudo mais. Maior do que o rio só o menino…
pourquoi je n’ai pas pu finir ? J’ai beau parler portugais, cela fait une éternité que je n’ai pas eu l’occasion de pratiquer. Passer du néan à de la littérature sérieuse… c’était ambitieux de ma part. Et ça s’est soldé par un échec. Bon d’un côté j’ai trouvé que l’histoire n’était pas passionante, mais le vrais problème c’est le niveau de langue, trop littéraire pour moi après une si longue période sans pratiquer cette langue.
1Q84 – Haruki Murakami
Le premier Murakami que j’ai lu et le seul que je n’ai pas terminé.
résumé : Au Japon, en 1984.
C’est l’histoire de deux mondes, celui réel de 1984 et un monde parallèle tout aussi vivant, celui de 1Q84. Deux mondes imbriqués dans lesquels évoluent, en alternance, Aomamé et Tengo, 29 ans tous deux, qui ont fréquenté la même école lorsqu’ils avaient dix ans. A l’époque, les autres enfants se moquaient d’Aomamé à cause de son prénom, « Haricot de soja », et de l’appartenance de ses parents à la nouvelle religion des Témoins. Un jour, Tengo l’a défendue et Aomamé lui a serré la main. Un pacte secret conclu entre deux enfants, le signe d’un amour pur dont ils auront toujours la nostalgie.
En 1984, chacun mène sa vie, ses amours, ses activités.
Tueuse professionnelle, Aomamé se croit investie d’une mission: exécuter les hommes qui ont fait violence aux femmes. Aomamé a aussi une particularité: la faculté innée de retenir quantité de faits, d’événements, de dates en rapport avec l’Histoire.
Tengo est un génie des maths, apprenti-écrivain et nègre pour un éditeur qui lui demande de réécrire l’autobiographie d’une jeune fille échappée de la secte des Précurseurs. Il est aussi régulièrement pris de malaises lors desquels il revoit une scène dont il a été témoin à l’âge d’un an et demi.
Les deux jeunes gens sont destinés à se retrouver mais où? Quand? En 1984? Dans 1Q84? Dans cette vie? Dans la mort? (source : Babelio)
pourquoi je n’ai pas pu le finir ? dans cet article j’expliquais que ce que je trouve fascinant chez Murakami, c’est qu’il me captive avec des histoires qui ne m’intéressent pas et des personnages pour lesquels je n’ai aucune empathie. Pourquoi je n’ai pas réussi à finir 1Q84 alors que j’ai dévoré ses autres romans ? Grand mystère. Je n’arrive pas à comprendre moi-même. Contrairement aux romans que j’ai lu ensuite, j’aimais bien l’histoire de 1Q84, je la trouvais intrigante. Mais, je ne sais pas, peut-être un problème de rythme trop lent, j’arrivais pas à rester plongée dans le livre suffisamment longtemps.
La concubine – Anchee Min
résumé : Quand la famille d’Orchidée arrive à Pékin, ruinée, la beauté de la jeune fille lui permet d’être choisie parmi des milliers de femmes pour devenir une des sept épouses de l’empereur Xianfeng.
Sa force de caractère la pousse à résister à l’implacable complexité du protocole de la Cité Interdite, ainsi qu’aux rivalités entre concubines, et elle devient la favorite de l’empereur. L’Empire du milieu connaît certains troubles mais Orchidée, seule à en comprendre l’ampleur, protégera son fils, unique héritier de la dynastie. Alors que débute le déclin de l’Empire de Chine, une courtisane envoûtante et implacable étend son influence : de jalousies sentimentales en rivalités politiques, de séduction calculée en coup d’État déjoué, Orchidée sera la dernière impératrice de Chine… (source : Babelio)
pourquoi je n’ai pas pus le finir ? Trop de descriptions !!! Je déteste les descriptions. Et ici l’auteur tient tellement à montrer à quel point elle s’est documenté qu’elle passe des pages et des pages à décrire la robe de celle-ci, la toiture de cela. Bref tout est prétexte à étaler du savoir. Sauf que moi, si je suis très intéressé par le rôle que l’impératrice Orchidée à joué en Chine, je n’en ai rien à taper des broderies de la robe de l’impératrice, surtout si ça dure 2 pages ! J’ai tenu bon jusqu’à 300 pages, mais après j’ai craqué. Trop c’est trop.
The Adventures of Tom Sawyer – Mark Twain
J’étais pleine de bonnes intentions…
résumé : Whether forming a pirate gang to search for buried treasure or spending a quiet time at home, sharing his medicine with Aunt Polly’s cat, the irrepressible Tom Sawyer evokes the world of boyhood in nineteenth century rural America. In this classic story, Mark Twain re-created a long-ago world of freshly whitewashed fences and Sunday school picnics into which sordid characters and violent incidents sometimes intruded. The tale powerfully appeals to both adult and young imaginations. Readers explore this memorable setting with a slyly humorous born storyteller as their guide.
Tom and Huck Finn conceal themselves in the town cemetery, where they witness a grave robbery and a murder. Later, the boys, feeling unappreciated, hide out on a forested island while the townspeople conduct a frantic search and finally mourn them as dead. The friends triumphantly return to town to attend their own funeral, in time for a dramatic trial for the graveyard murder. A three-day ordeal ensues when Tom and his sweetheart, Becky Thatcher, lose their way in the very cave that conceals the murderer.
With its hilarious accounts of boyish pranks and its shrewd assessments of human nature, The Adventures of Tom Sawyer has captivated generations of readers of all ages. This inexpensive edition of the classic novel offers a not-to-be-missed opportunity to savor a witty and action-packed account of small-town boyhood in a bygone era. (source : Amazon)
pourquoi je n’ai pas pu le finir ? Je voulais améliorer mon niveau d’anglais. Je me suis dit que je pouvais lire en VO et un roman jeunesse ne devrait pas être trop difficile. Pourquoi pas lire un classique ? Mais qu’est-ce que c’est chiant !! Punaise, j’aurais du m’en douter. J’aime pas la littérature classique. Trop de mots, je m’endors à chaque fois. J’ai pas du tout réussi à le lire. Du coup je l’ai trouvé en audio et je l’ai mis sur mon portable. Même résultat : je comprends rien, je me fait chier. J’ai laissé tomber.
Sherlock Holmes – Conan Doyle
J’ai trouvé au puce un recueil avec les trois premières aventures de Sherlock Holmes. J’adore toutes les adaptation modernes et tout ce qui s’en inspire. J’étais super heureuse de tomer sur ce livre pour 50 centimes ! J’ai commencé à lire l’étude en rouge avec ma grande fille (qui à l’époque n’était pas encore grande). Nous lisions le livre ensemble à haute voix. Mais j’étais très déçue par cette première nouvelle que je n’ai d’ailleurs pas terminé. D’abord le crime, puis l’assassin dévoilé comme ça, comme on trouve un cheveux dans la soupe, un personnage que l’on avait même pas remarqué jusqu’à ce qu’il se fasse arrêter. Aucun indice pour nous mettre sur la piste. Et puis, on se sais pas pourquoi on se retrouve avec une caravane de mormons. L’histoire du dit assassin, mais qui vient là, non comme un cheveux dans la soupe, mais comme tout un scalpe. C’est quoi le rapport ? Sans doute faut-il lire jusqu’au bout pour comprendre, mais ce côté très décousu de la nouvelle m’a complètement démotivé. J’avais même plus envie de connaitre le fin mot de l’histoire. Grosse déception. J’attendais à autre chose.
Le prophète – Khalil Gibran
résumé : Une langue limpide, des images évocatrices et forte : à travers l’enseignement d’Al-Mustafa se dessinent quelques-uns des trésors de l’expérience humaine. Rien n’échappe à la leçon du Sage : amour, joie, liberté, douleur, connaissance de soi, beauté, couple, passion, mort… La vie la plus intime, comme les problèmes les plus quotidien. Hymne à la vie et à l’épanouissement de soi, Le Prophète s’impose désormais comme l’un des textes cultes du XXème siècle. (source : Babelio)
pourquoi je n’ai pas pu le finir ? Alors là ! Je n’ai aucun souvenir de ce livre. Je ne me souviens de rien du tout. Le vide total. C’est dire si cette lecture m’a marqué. Pourquoi je ne l’ai pas terminé alors qu’il ne fait même pas 100 pages et que j’étais déjà à la moitié ?
Manuel du guerrier de la lumière – Paulo Coelho
Depuis le lycée je le traîne parce que j’ose pas m’en débarrasser. Il y a encore le marque page.
résumé : Paulo Coelho Manuel du Guerrier de la Lumière Les guerriers de la lumière se reconnaissent au premier regard. Ils sont au monde, ils font partie du monde. Souvent ils trouvent que leur vie n’a pas de sens. Mais ils n’ont pas renoncé à le trouver. Ils s’interrogent. Ils refusent la passivité et le fatalisme. C’est pour cela qu’ils sont des guerriers de la lumière. On trouvera dans ce livre bref, simple et précieux, la synthèse de la philosophie humaniste de Paulo Coelho : un message de confiance et de vie qui, avec L’Alchimiste et La Cinquième Montagne, a déjà touché des millions de lecteurs dans le monde entier. (source : Livraddict)
pourquoi je n’ai pas pu le finir ? Je n’aime pas ces livre pseudo philosophiques. J’avais pas aimé L’Alchimiste de Coelho, mais comme mes camarades du lycée adoraient ça j’osais pas l’avouer. Alors quand ma meilleure amie m’a offert ce livre j’ai fait semblant d’être heureuse. La vérité c’est que Coelho enfonce des portes ouvertes et que ça me soûle. C’est bon, ça va faire bientôt 20 ans, je suis sûre que mon amie ne m’en voudra pas si je me débarrasse de ce livre qui, non seulement ne me plait pas, mais me pèse sur la conscience.
Soundtrack – Hideo Furukawa
résumé : Fin du XXe siècle. Deux enfants, un garçon et une fille, se retrouvent échoués sur une île déserte dans le Pacifique. En deux années, ils développent des techniques de survie et de communion avec la nature, proches du chamanisme. Devenus grands et rendus à la civilisation, ils découvrent un Tokyo transformé par le réchauffement climatique et l’immigration environnementale. Envahi par une végétation tropicale et des colonies de corbeaux à gros bec. Où ils vont devoir survivre sur les décombres de la société des hommes.
Ce roman d’une puissance imaginaire stupéfiante, à l’écriture fiévreuse comme un long solo de guitare rock, emprunte les codes de la science-fiction pour mieux dynamiter la fiction tout court.
Sa forme est celle d’une spirale qui se resserre et tourne de plus en plus vite. Pour Furukawa la littérature est une arme, une tornade qui emporte tout, et Soundtrack le roman fondateur de toute son œuvre.
“J’étais un humain, j’étais en colère, et j’ai juré de mettre mes tripes à écrire un chant à la gloire des corbeaux. J’ignore à quel âge je mourrai, j’ignore combien de dizaine de romans j’écrirai jusqu’à ma mort. Mais je peux dire une chose. S’il y a quelque chose que l’on puisse appeler l’ère Furukawa, alors son année 0 correspond à l’année de publication de Soundtrack.” (source : Babelio)
pourquoi je n’ai pas pu le finir ? Un gros pavé, très dense. Trop dense peut-être. J’ai adoré le début, vraiment. Mais arrivé à la moitié j’ai commencé à en avoir vraiment marre. Je voulais une conclusion. Elle tarde trop à venir. J’ai abandonné un peu près au deux tiers.
Storia di Irene – Erri de Luca
Encore un cadeau de ma mère …
quatrième de couverture : È la bellezza pura che sta entrando in mare, illesa da lusinghe di futuro, senza un saluto indietro, come un serpente con la vecchia pelle.
pourquoi je n’ai pas pu le finir ? Ben, au fait, je m’ennuyais sec ! Le livre est pourtant très court mais j’ai pas accroché. Je suis même pas arrivée à la moitié. Au même temps j’ai du mal à lire en italien.
La Sibylle – Agustina Bessa-Luís
Je crois bien que c’est ma mère qui me l’a acheté celui-ci aussi ^^’
résumé : Dans le nord du Portugal, ce sont les femmes qui, devant l’indolence et les rêves d’évasion que nourrissent les hommes, assurent le lourd héritage des travaux de la terre.
C’est vrai en particulier vers la fin du XIXe siècle, lorsque la propriété à l’abandon doit être prise en charge par Joaquina Augusta-Quina, une adolescente frêle et inculte, mais qui participe aux plus rudes tâches de la campagne aux côtés des ouvriers, tandis que sa sœur et ses frères se préparent à échapper au milieu rural. La lucidité de Quina, rusée et chicaneuse, et son sens de la répartie lui valent ce surnom de sibylle sous lequel elle ne tarde pas à être connue et admise dans la bonne société, où l’on admire cette paysanne.
Resté célibataire, endurcie par la lutte, haïe et admirée par le membres de sa famille, une passion étrange l’unit sur le tard à un enfant qui grandira sous sa protection. Un admirable portrait de femme, le premier chef-d’œuvre d’Agustina Bessa-Luis. (source : Bableio)
Pourquoi je n’ai pas pu le finir ? Je ne sais plus trop. Je me souviens avoir aimé le personnage principal, mais je ne me souviens plus trop de l’histoire, ni du style. Faut vraiment que je dise à ma mère de ne plus m’offrir de livre ^^’
Je n’aime pas Coelho non plus, pour les mêmes raisons que toi. En revanche, j’adore Mark Twain, c’est un de mes écrivains préférés. Il est carrément révolutionnaire dans le genre, encore maintenant. En revanche, c’est hyper balaise à lire en anglais, même pour moi. Un de mes grandes frayeurs, à la fac, c’était de tomber à l’oral sur un de ses textes 😉
ah ! ça me rassure, j’ai trouvé ça super dur à lire. Je me suis dit que c’était mon anglais qui est vraiment pourris mais avec de la littérature plus récente je n’ai pas eu de problèmes.
Coelho m’a fait exactement la même impression que Voltaire : un conte philosophique qui n’a de philosophique que le nom… Je viens de déposer Zadig dans une boite à livre. Je l’ai lu y a une éternité mais je me souviens très bien de la déception. Enfonçage de portes ouvertes et rien d’autre.
J’ai lu beaucoup de Murakami y compris celui que tu cites. J’ai bien aimé. Et Soundtrack me tente mais du coup, je vais peut-être y réfléchir.
J’ai trouvé l’idée de départ de Soundtrack géniale mais j’ai fini par décrocher. ça part un peut trop dans tout les sens à mon goût
Ha ha ha! J’adore cette idée d’article et ton article en particulier avec tes mots d’échecs.
Ce qui compte finalement, ce n’est pas tant que tu les aies lus ou non, mais pourquoi tu as voulu et tu t’es arrêtée. Le moment n’était peut-être pas le bon, en plus des difficultés de langue ou de descriptions… Tu te mets quand même des barrières 😉
j’ai toujours les yeux plus gros que le ventre XD mais tu as raison, le plus souvent quand on termine pas un livre, c’est qu’il ne correspond pas à ton besoin/envie du moment