Carnet de bord, lundi 23 août 2021

Carnet de bord, lundi 23 août 2021

23 août 2021 8 Par Bidib

Bienvenue sur Ma petite Médiathèque, voici, comme chaque lundi, mon petit carnet de bord de la semaine passée : articles publiés, livres lus et bilan de visionnage au rendez-vous.

Lecture

lectures terminées

Une semaine sous le signe des bulles. Deux bandes dessinées : le dernier tome des aventures des Spectaculaires qui m’attendait dans ma PAL. Une très jolie lecture pleine d’humour et de clins d’œil. J’ai aussi lu le premier tome de Yojimbot que j’ai emprunté à la bibliothèque. J’ai adoré. J’aime beaucoup les dessins et les clins d’oeil à la culture pop disséminés tout au long du récit.

Yojimbot: Japon, 2241. Suite à la « 3e crise de l’homme », la surface de la Terre est devenue inhabitable pour l’être humain. Parmi les ruines, ne restent que des robots.
Mais l’un d’eux (un Yojimbot, robot samouraï) tombe inopinément sur Hiro, un jeune garçon, et son père qui cherchent à échapper à une troupe armée. Le Yojimbot se défait de l’escouade et sauve l’enfant. Il va vite comprendre que, de la survie d’Hiro, dépend le sort de l’humanité….
Un premier tome au rythme effréné où les sabres s’entrechoquent au gré de combats dantesques dans une ambiance post-apocalyptique des plus abouties ! (source : Livraddict)

Les spectaculaires contre la brigade du Pitre : Des clowns d’un nouveau genre font leur cirque dans les rues de Paris. Pillage, saccage, chantage, outrage, cambriolage, tapage, ces anarchistes rigolards ne reculent devant aucune forfaiture pour terroriser le Tout-Paris et ridiculiser les autorités. Mais voici que face à eux se dressent les as du cafouillage, les princes du dérapage, les rois du naufrage : les Spectaculaires ! (source : Livraddict)

 

3 manga aussi, un one-shot et deux premiers tomes. Levius trainait dans ma Pal depuis une éternité. J’ai beaucoup aimé le dessin et l’ambiance générale du manga. L’histoire en revanche est assez classique et ne m’intrigue pas plus que ça.  Don’t call it mystery est une série policière assez particulière. J’ai très envie de lire la suite. Le mandala du feu est un one-shot racontant la vie d’un peintre japonais célèbre que pour ma part je découvre grâce à ce manga, cela m’a donné envie d’en savoir plus. J’ai beaucoup aimé le dessin.

Le mandala de feu : Magnifié par le dessin spectaculaire de Shie Chimomoto, Le Mandala de feu déploie l’histoire de Tohaku Hasegawa, peintre légendaire et sorte de réincarnation nippone du Caravage.D’abord moine bouddhiste dans la péninsule de Noto, Tohaku se rend à Kyoto pour tenter de devenir le disciple d’Einori Kano, peintre légendaire du Kansai. En vain. Mais il en faut plus pour le décourager, et la découverte qu’il va faire dans un château d’Azuchi en proie aux flammes pourrait bien changer le cours de sa vie. Frustration, gloire et renoncement : qu’a-t-il vu au-delà des oeuvres de son maître ? Découvrez-le en lisant ce titre unique, au format souple agrandi. (source : Livraddict)

Don’t call it mystery, tome 1 : Totono Kuno est un étudiant solitaire, qui n’aspire qu’à profiter de ses journées tranquilles, à préparer du curry et à apprécier le passage des saisons. Sa routine est bouleversée le jour où la police se présente à sa porte : l’un de ses camarades de classe a été assassiné et il est le seul suspect… Il faudra à Totono déployer toutes ses capacités de déduction pour lever les soupçons qui pèsent sur lui. Heureusement, il ne manque pas de ressources dans ce domaine ! (source : Livraddict)

Levius, tome 1 : Au XIXe siècle de la nouvelle ère, après une guerre dévastatrice qui a tué son père et plongé sa mère dans le coma, le jeune Levius Cromwell vit avec son oncle Zack. Dans la capitale, un nouvel art martial fait fureur : la boxe mécanique. Des lutteurs équipés de membres mécaniques s’affrontent violemment dans une arène. Levius va y révéler d’étonnantes prédispositions ! S’annonce alors un combat au sommet qui pourrait bien avoir des répercussions sur l’avenir de la civilisation… (source : Livraddict)

lectures en cours

J’ai commencé 3 nouvelles lectures. J’ai commencé avec L’île des neufs. J’ai passé le cap de 90 premières pages mais l’histoire ne décolle toujours pas. J’espère qu’il va vite se passer quelque chose car pour le moment c’est pas trop passionnant. J’ai ensuite commencé La Méthode Lighty, un roman ado avec une héroïne en dernière année de terminale qui doit réussir à devenir la reine du bal pour décrocher une bourse. Enfin j’ai lu les toutes premières pages d’un nouveau tome de Arsène Lupin.

Visionnages de la semaine

Yomu-chan nous a proposé une semaine thématique. Nous avons chacun choisi un continent pour cuisiner un repas à thème et nous avons cherché des séries ou des films pour accompagner le thème du repas. J’ai choisit l’Amérique et une série brésilienne, Personne ne regarde, pour accompagner des tacos, tortilla et cocktails sans alcool. Kitsune a choisi l’Irlande, nous a préparé une terrine de saumon, un stew et un crumble. Pour l’accompagner le repas nous avons regardé L’Inrlandais. Yomu-chan avait choisit l’Asie et nous a préparé un phở et un dessert avocat coco. Pour accompagner ce repas nous avons regardé The Yin Yang Master. Mimiko a choisi l’Australie avec une tourte à la viande, Chéri quant à lui a choisi l’Afrique et nous a préparé un couscous. Ces deux repas ayant été préparé un midi, nous n’avons pas regardé de film dans le thème.

Personne ne regarde

Affiche Personne ne regarde

Série de Daniel Rezende (2019)

Une série brésilienne très drôle. Un nouvel ange vient d’être créé, on lui explique le travail qu’il doit effectuer, mais le dernier venu est curieux et indiscipliné. Il n’arrête pas de poser des questions de remettre tout en cause et de créer le bazar.

On a regardé les premiers épisodes en famille et tout le monde a bien ri. C’est assez cru et il y a beaucoup de sexe, mais c’est plus suggéré que montré et même Mimiko a pu regarder sans rougir. Et c’est très inclusif.

L’irlandais

Affiche L'Irlandais

Film de John Michael McDonagh (2011)

Synopsis : Boyle est un flic irlandais, flegmatique et solitaire, amateur de Guinness, de poésie et de prostituées à ses heures perdues. En poste dans un petit village de la côte irlandaise où il ne se passe jamais rien, il passe ses journées à faire respecter la loi… au pub local. Malheureusement pour lui, des trafiquants de drogue ont jeté leur dévolu sur cette région endormie comme base de leurs opérations… Le petit village irlandais va bientôt se retrouver au cœur d’une importante opération anti-drogue menée par le FBI ! Les mauvaises nouvelles n’arrivant jamais seules, Boyle doit se coltiner l’agent Everett, un super agent du FBI déterminé et maniaque dépêché sur place… Certes, les procédures de l’élite du FBI diffèrent de celles du flic bedonnant, peu zélé et “politiquement incorrect”… Mais après tout, la méthode “locale” pourrait bien fournir des résultats inattendus ! (source : SensCritique)

Un film parfait pour accompagner cette soirée irlandaise. Un film très drôle avec beaucoup d’autodérision. Nous avons tous passé un bon moment.

The Yin Yang Master

Affiche The Yin Yang Master

Synopsis : Quand un conflit éclate entre royaumes, Qing Ming, maître Yin Yang, s’allie au garde déchu Yuan Boya pour braver un ennemi démoniaque tandis qu’une conspiration menace. (source : SensCritique)

Pour notre soirée asiatique, nous avons choisi de la fantasy chinoise. Cela faisait très longtemps que je n’avais pas regardé ce genre de film et c’était une agréable surprise. Un peu long, mais très chouette. C’est beau, il y a beaucoup d’action, des esprits super chouettes, des clins d’œil, de la romance, mais pas trop, de l’humour. Bref on a passé une bonne soirée.

The Yin Yang Master : dream of eternity

Affiche The Yin-Yang Master: Dream of Eternity

Synopsis : Lorsqu’un serpent démoniaque se réveille, les maîtres Yin-Yang doivent enquêter sur un meurtre mystérieux et protéger leurs royaumes d’un complot à la cité impériale. (source : SensCritique)

Nous avons regardé ce film en pensant qu’il s’agissait d’une suite à The Yin Yang Master, mais en fait il s’agit d’un film concourent. Tous deux s’inspirent d’un jeu vidéo chinois. Les deux films reprennent donc les mêmes personnages Qing Ming, Boya et le serpent démoniaque. Mais l’histoire est elle très différente, la romance aussi : ici très sous-entendue et d’une autre orientation. Niveau photographie, les deux films se valent, tous deux sont très beaux, très théâtralisés. Ils partagent aussi le même défaut : un peu longs à notre goût, les deux films font 2 bonnes heures. Nous avons aimé les deux films et avons passé deux bonnes soirées. J’adore l’ambiance et les “démons” qui sont plutôt des créatures telles que les yôkai japonais (yaoguai en chinois) que nos démons à nous. J’ai tout de même une petite préférence pour dream of eternity (fujoshi un jour fujoshi toujours 🤣).

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