carnet de bord, lundi 26 juin 2023

Ça y est. C’est le dernier lundi de juin. Déjà ! C’est l’été et la chaleur accablante est au rendez-vous. L’été n’est pas vraiment ma saison préférée. Tandis que certains rêvent de plages où se faire dorer la pilule, mais je vais me terrer dans mon terrier, tirer les rideaux, fermer les volets et tenter de garder un maximum de fraicheur. Le soleil, je vais le fuir, le bronzage, pas ma came et la plage… je l’aime en hiver. 🙂

Mais il y a une bonne nouvelle, terrée dans mon terrier je vais pouvoir lire et tricoter en paix tandis que le monde se rue vers plages et autres lieux de villégiature. Et je vais crocheter plein de rideaux pour me cacher du soleil !

L’heure n’est pas encore aux vacances et cette semaine j’ai eu un peu de mal à avancer dans mes lectures, mon rythme est en ce moment encore plus lent que d’habitude. Mais j’ai quand même lu la moitié d’Un assassinat de qualité de Ann Granger, une enquête de Lizzie Martin que j’ai choisi de lire dans le cadre du challenge Un mois Anglais.

Une narration assez lente, mais une ambiance sympa, dans le Londres de la fin du XIXe siècle.

résumé : Londres, 1867. Un soir d’octobre, alors que l’inspecteur Ben Ross de Scotland Yard rentre chez lui, le fog tourbillonne et l’enveloppe telle une créature vivante. Lorsque le brouillard se lève le lendemain, une femme gît assassiné dans Green Park. Allegra Benedict était la belle épouse italienne d’un marchand d’art de Piccadilly. Qu’avait-elle été faire à Londres cet après-midi ? Pourquoi avait-elle vendu sa broche dans Burlington Arcade quelques heures avant sa mort ? Alors que Ben poursuit son enquête, son épouse Lizzie se penche sur la vie privée d’Allegra et découvre plus d’une raison pour laquelle quelqu’un aurait voulu sa mort. (source : livraddict)

J’ai quitté l’Angleterre pour mes lectures audio. Direction le sud de l’Europe avec écouter la pluie tomber d’Olivia Ruiz. On y retrouve les personnages de la commode aux tiroirs de couleur.

résumé : Marseillette, 1977. Dans le café qui l’a accueillie, étouffée, puis révélée, Carmen pleure sa nièce chérie. À plus de quarante ans, elle se rappelle les personnages qui ont changé sa vie.
Ceux qui l’ont fait plonger, l’ont remise dans le droit chemin. Ceux qui ont su percer ses failles et écouter ses désirs. Sans oublier ses sœurs, dont elle partage les stigmates de l’exil mais refuse de suivre la route.
Parce qu’après tant d’épreuves, Carmen aussi veut s’inventer un destin…

D’une hacienda près de Tolède à la prison madrilène de Ventas où le franquisme fait rage, en passant par un paquebot transatlantique, Olivia Ruiz nous embarque dans les tourments d’une histoire qui s’entremêle à la grande, où l’amour triomphe de la violence. Un nouveau roman chavirant. (source : Livraddict)

J’ai aussi un peu avancé dans l’écoute de Retour à Montechiarro de Vincent Engel. Un livre qui va sans doute me durer quelques mois. J’aime y découvrir la Toscane du XIXe siècle, mais j’avoue que la narration est assez lente et je n’aime pas du tout le ton du lecteur qui rajoute de la lourdeur.

résumé : En 1849, la princesse Laetitia Malcessati accompagne son mari, le comte Bonifacio Della Rocca, à Montechiarro, petit village blotti au coeur d’un val toscan. En 1978, Laetitia, son arrière-arrière-petite-fille, revient à Montechiarro, ignorant tout des 4 générations de femmes qui y ont souffert du pouvoir absurde des hommes en quête de vaines révolutions. (source : livraddict)

 

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