lundi 11 septembre 2023, carnet de bord
Bonjour, je vous retrouve aujourd’hui pour mon traditionnel billet du lundi. En ce début septembre, l’air est à la rentrée des classes. Une période que j’aime bien depuis que je ne vais plus à l’école. Déjà parce que cela annonce l’automne et la fin de l’été. Je n’aime plus l’été, il fait beaucoup trop chaud. Je me souviens qu’enfant j’adorais l’été, les vacances, la chaleur et que la rentrée était pour moi un moment très triste. Je n’avais pas du tout envie de retourner à l’école où on allait m’obliger à rester assise des journées entières.
Mais le temps de l’école est fini depuis longtemps pour moi et je me suis depuis réconcilié avec cette saison que j’apprécie maintenant beaucoup. Je ressens toujours l’envie d’initier de nouvelles choses à cette période. Mais c’est au ralenti que cette année je me lance dans l’automne. Mes batteries sont un peu vides, mais je me réjouis d’accueillir l’automne. Bien que l’été s’attardent avec par chez nous encore des chaleurs étouffantes.
Lectures de la semaine :
C’est au rythme ralenti que j’avance également dans mes lectures. J’ai (ENFIN !) fini Je voulais naître vent d’Andrea Gentile, publié aux éditions l’école des loisirs. J’ai eu beaucoup de mal avec cette lecture, je suis passé complètement à côté, j’ai trouvé le style et l’héroïne assez creuse alors que j’en attendais beaucoup. En toute franchise je me suis ennuyé.
Résumé : Originaire de Partanna, en Sicile, Rita Atria a grandi dans une famille mafieuse. Elle a onze ans lorsque, en 1985, son père Vito est abattu par un tueur d’une famille rivale, un meurtre que son frère Nicolo, lui aussi mafieux, jure de venger. Face à cette escalade de violence, la jeune fille décide à l’âge de 17 ans de révéler ce qu’elle sait au juge Paolo Borsellino, qui dirige le parquet antimafia de Palerme. À présent menacée de mort, la jeune fille doit quitter l’île et s’installer à Rome où elle vit sous un faux nom. Elle y découvre la liberté, trouve en Borsellino un nouveau père et rencontre même l’amour. Mais ce fragile équilibre est rompu lorsque le juge est assassiné par le clan corléonais de Toto Riina, un drame dont Rita ne se remettra pas. L’histoire de Rita n’est pas seulement un roman sur la mafia, c’est surtout un formidable plaidoyer pour la justice et la liberté. (source : livraddict)
En revanche j’aime beaucoup ma lecture en cours : Absolution par le meurtre de Peter Tremayne
Résumé : En l’an de grâce 664, tandis que les membres du haut clergé débattent en l’abbaye de Streoneshalh des mérites opposés des églises romaine et celtique, les esprits s’échauffent. C’est dans ce climat menaçant qu’une abbesse irlandaise est retrouvée assassinée. Amie de la victime, sœur Fidelma de Kildare va mettre tout son talent et son obstination à débusquer le coupable. Jeune femme libre et volontaire, Fidelma n’est pas une religieuse tout à fait comme les autres… Avocate irlandaise célèbre dans tous les royaumes saxons, elle sillonne l’Europe pour résoudre les énigmes les plus obscures en compagnie du moine Eadulf. Dans cette première enquête, leur collaboration sera mise à rude épreuve tandis que les meurtres se multiplient à l’abbaye. (source : livraddict)
Vu ma capacité de concentration du moment, je mise aussi sur les livres audio. J’ai un peu avancé dans l’Affaire Clara Miller d’Olivier Bal, mais j’ai du mal à plonger dans cette ambiance assez sombre. Je n’ai pas vraiment le moral pour ce genre de lectures en ce moment.
résumé : Son cadavre est remonté, comme celui d’autres femmes, à la surface de l’eau. Six au total… Là-bas, dans les forêts du New Hampshire, le lieu maudit porte un nom : le lac aux suicidées.
Clara Miller était journaliste. Comme Paul Green, le reporter du Globe qui débarque sur l’affaire. Il avait connu Clara étudiante, et ne croit pas un instant à la thèse du suicide.
Un homme l’intrigue : Mike Stilth, l’immense rock star retranchée à quelques kilomètres de là, à Lost Lakes, dans un manoir transformé en forteresse.
L’artiste y vit entouré d’une poignée de fidèles, dont Joan Harlow, redoutable attachée de presse qui veille sur son intimité et se bat comme une lionne dès que l’empire Stilth est attaqué.
Mais Paul, lui, a tout son temps. Dans sa vieille Ford déglinguée, il tourne inlassablement autour du domaine. Avec cette question : et si, du manoir, la route menait directement au lac ? (source : livraddict)
J’ai donc commencé une nouvelle lecture audio plus légère : Madame Mohr a disparu de Maryla Szymiczkowa. Il y est question de meurtres, mais le ton y est plus léger, plus drôle. Et avec cette lecture je valide une nouvelle étape dans mon tour du monde en 80 livres ! ça ne m’était pas arrivé depuis un moment. J’en suis ravie. Je découvre avec cette lecture la Pologne du XIXe siècle et je crois bien que c’est la première fois que je lis un roman qui se déroule dans ce cadre.
résumé : Cracovie, 1893. Zofia Turbotynska, sans enfants, mariée à un professeur d’université, s’efforce de gagner sa place dans la haute société cracovienne. Dans ce but, et pour lutter contre l’ennui de sa vie domestique, elle s’engage au service d’une cause caritative : la Maison Helcel, maison de soins privée pour les malades et les vieux.
Lorsqu’une résidente, Mme Mohr, est trouvée morte dans le grenier, le médecin conclut à une crise cardiaque. Mais Zofia, grande lectrice de romans policiers, y voit aussitôt un acte criminel et décide d’enquêter. Plonger dans les secrets des uns et des autres, sinistres ou anodins, est bien plus amusant que coudre des sachets de lavande… Et qui sait, Zofia y trouvera peut-être une nouvelle vocation ?
Première aventure de cette Miss Marple à la polonaise, ce roman mêle pastiche hilarant et satire bourgeoise, tout en offrant au lecteur un savoureux portrait de Cracovie, avec ses commérages, ses figures historiques et ses mœurs d’un autre âge. (source : livraddict)
Hello ! Une petite semaine en retard, mais toujours au rendez-vous que j’adore =)
Ouuh j’adoooore la couleur du t-shirt orangé 😀 Hâte de le voir terminé =) Et ces chaussettes s’annoncent fun aussi ! C’est chouette d’arriver à faire tout ça, j’étais en magasin tout à l’heure, tout est tellement triste et sombre… Là tu vas illuminer les journées des gens 🙂
J’avoue que « Je voulais naître vent » ne me tente pas plus que ça, encore moins avec ton avis, ça a l’air un peu bizarre. Raah y a rien de plus énervant qu’une traduction ratée ! J’avais eu ça avec un Donna Tart, le traducteur avait traduit « Ground control to Major Tom » (dans la chanson de Bowie) par « Contrôle au sol pour le Maire Tom ». Il avait rien compris à la chanson… Et en plus, il avait laissé une chanson en vieil anglais, non traduite, démerdez-vous ! ^^
Le roman Polonais m’intrigue, on l’a en médiathèque, j’espère bien le lire un jour 🙂
Merci pour ce chouette vlog encore une fois et belle semaine à toi !
PS : Je viens te laisser un petit mot sur ton YouTube 😉 Heureusement il n’est pas trop tard pour moi 😀