Carnet de bord, lundi 25 janvier 2021

25 janvier 2021 10 Par Bidib

Bienvenu sur Ma petite Médiathèque, voici, comme chaque lundi, mon petit carnet de bord de la semaine passée : articles publiés, livres lus et bilan de visionnage au rendez-vous

Lectures de la semaine :

Lady Lagos : j’avais envie d’un polar et j’ai trouvé celui-ci dans ma bibliothèque. Je ne sais pas du tout comme il est arrivé là. Je ne me souviens pas de l’avoir acheté. Je l’ai peut-être trouvé dans une boite à lire, ou alors quelqu’un l’a laissé ici. Je venais juste de prendre la résolution de découvrir la littérature africaine en 2021 et voilà que je tombe sur un polar nigérian dans ma bibliothèque. J’avoue que les premiers chapitres m’ont déstabilisé. On passe d’un personnage à un autre sans lien apparent. Je ne comprenais rien, je ne voyais pas où on voulait en venir. Puis, après quelques chapitres, les choses commencent à se mettre en place et des liens entre les différents personnages comment à se dessiner. J’aime l’écriture, rythmé et agréable. J’avance vite. En revanche l’ambiance est très très glauque. Prostitutions et pervers à la pelle. J’ai bien avancé cette semaine, même si l’ambiance lourde m’oblige à faire des pauses (mon petit ceur ne peut supporter ça trop longtemps).

Synopsis : mauvaise idée de sortir seul quand on est blanc et qu’on ne connaît rien ni personne à Lagos; Guy Collins l’apprend à ses dépens, juste devant le Ronnie’s, où il découvre avec la foule effarée le corps d’une prostituée aux seins coupés. En bon journaliste, il aime les scoops, mais celui-là risque bien de lui coûter cher : la police l’embarque et le boucle dans une cellule surpeuplée, en attendant de statuer sur son sort. Le sort, c’est Amaka, une splendide Nigériane, ange gardien des filles de la rue, qui, le prenant pour un reporter de la BBC, lui sauve la mise, à condition qu’il enquête sur cette vague d’assassinats. Entraîné dans une sombre histoire de juju, la sorcellerie du cru, notre journaliste à la manque se demande ce qu’il est venu faire dans cette galère, tandis qu’Amaka mène la danse en tant qu’épatante femme d’action au milieu des notables pervers. Hôtels chics, bars de seconde zone, jungle, bordels, embouteillages et planques en tout genre, Lagos bouillonne nuit et jour dans la frénésie highlife; les riches font tinter des coupes de champagne sur Victoria Island pendant que les pauvres s’entretuent à l’arme lourde dans les bas quartiers. (source : livraddict)

282 pages lues.

Mercy Thompson, tome 1 : Moon called : roman fantasy commencé il y a une éternité et … je n’avance pas vite. J’ai choisi de le lire en VO (sur kindle) et je rame un peu. Et comme je fais de longues poses, je du mal à me remémorer ce que j’ai lu. Bref je n’ai avancé cette semaine que de quelques pages. Plus pour l’exercice d’anglais que pour le reste

Synopsis :  » Les loups-garous peuvent être dangereux si vous vous mettez en travers de leur chemin. Ils ont un talent extraordinaire pour dissimuler leur véritable nature aux yeux des humains. Mais moi, je ne suis pas tout à fait humaine. « 
En effet, Mercy Thompson n’est pas une fille des plus banales. Mécanicienne dans le Montana, c’est une dure à cuire qui n’hésite pas à mettre les mains dans le cambouis et à sortir les griffes quand le danger frappe à sa porte. Mais ce n’est pas tout : son voisin très sexy est le chef de meute d’une bande de loups-garous, le minibus qu’elle bricole en ce moment appartient à un vampire, et la vieille dame très digne qui lui rend visite vient jeter des sorts sur son garage. Au cœur de ce monde des créatures de la nuit, Mercy se trouve mêlée à une délicate affaire de meurtre et d’enlèvement… (source : livraddict)

La capucine : lecture commune avec Lou. J’ai commencé ce roman cette semaine. Je n’ai lu que les premiers chapitres et pour le moment j’aime l’ambiance générale et l’héroïne qui a l’air d’avoir un sacré tempérament.

Synopsis : Si son patron ne la battait pas, si elle était justement payée, si on ne lui comptait pas son assiette et son lit, Louise adorerait la terre sur laquelle elle travaille. Une terre incroyablement fertile, qui peut donner huit récoltes par an ! Qui exporte ses légumes jusqu’à Londres, et même jusqu’en Russie…. Une terre qui n’est qu’à une dizaine de kilomètres de Paris, sur un petit village de maraîchers nommé Bobigny. Le jour où vient la raclée de trop, Louise s’enfuit. Direction Paris, où vivent et travaillent sa mère Clémence, et son indéfectible protectrice, Bernadette, génie de la cuisine et de la voyance réunies. Mais Louise a treize ans, et à cet âge, même si l’on rêve de liberté, encore faut-il gagner sa vie… (source : livraddict)

26 pages lues

Couverture Brigade Verhoeven, tome 1 : RosieBrigade Verhoeven, tome 1 : Rosie : j’avais découvert cette série avec le tome 2, Irène, que j’ai lu l’année dernière. Quand je suis tombé par hasard sur le tome 1 à la bibliothèque, je n’ai pas hésité.

Synopsis : « La bombe a convenablement fonctionné ; sur ce plan, il a tout lieu d’être satisfait. Les rescapés tentent déjà de secourir les victimes restées au sol. Jean s’engouffre dans le métro. Lui ne va secourir personne. Il est le poseur de bombes. » Jean Garnier ? Pour l’état civil, il est John Garnier, n’a plus rien à perdre dans la vie : sa mère est en prison, sa petite amie a été tuée et il n’a plus de travail. Ce qu’il veut est bien simple : un passeport et des billets d’avion pour sa mère et lui pour l’Australie et cinq millions d’euros. Il ne parlera en outre qu’au commissaire Camille Verhoeven, sinon il fait sauter les six autres obus qu’il a disséminés un peu partout…Camille Verhoeven né hypotrophique, ne mesure que 1,45 m. C’est un homme solitaire, discret, et appliqué. L’expérience lui a permis de réunir une équipe hétéroclite et efficace, composée de Louis, le riche élégant, d’Armand, le radin méticuleux et de Jean-Claude, le joueur coureur de jupons. Cette singulière brigade parviendra-t-elle à déjouer le piège tendu ? (source : livraddict)

Couverture Blue Period, tome 1Momiko m’a offert le premier tome de Blue Period, un manga sur l’art plastique. J’ai lu les deux premiers chapitres et pour le moment je me régale. Il y a des passages un peu trop instructifs sur les universités japonaises et leurs écoles d’art. Mais j’aime l’ambiance et le graphisme.

synopsis : Yatora est un lycéen banal qui n’a pas vraiment d’ambition. Un jour, il aperçoit par hasard le tableau peint par une camarade de classe en cours d’arts plastiques : un événement qui va bouleverser sa vie et le projeter dans des sphères où il n’aurait jamais pensé entrer ! (source : livraddict)

Visionnages de la semaine :

Affiche Zone hostileZone hostile

synopsis : Un pilote de drone fait équipe avec un officier androïde pour localiser un dispositif apocalyptique dans une zone militarisée mortelle. (source : SensCritique)

Pour changer un peu des séries policières, nous avons tenté un film d’action avec Zone Hostile. La bande-annonce avait l’air sympa, mais… le film n’était finalement pas terrible. De bonnes idées, mais pas pleinement exploité, des longueurs. Sa canarde de tous les côtés, mais il n’y a pas de tension. Nous l’avons regardé en famille et nous sommes tous les trois du même avis : médiocre.

L’idée de départ était pourtant intéressante. Le personnage central est un pilote de drone qui lâche des bombes avec un sang froid assez déstabilisant. « Je suis conscient qu’on tue des gens », dit-il, mais il n’a pas vraiment l’air de comprendre ce que cela signifie vraiment. Après avoir désobéi et prix une décision qui a couté la vie à deux soldats de l’armée américaine, ses supérieurs décident de l’envoyer en zone de guerre. Il y avait là de quoi faire une réflexion intéressante. Mais on oublie assez vite se point pour passer sur une problématique SF vue et revue mille fois. Dommage.

Affiche MentalistThe Mentalist

Mimiko est toujours aussi fan de Jane. Nous en sommes déjà à la saison 4. C’est amusant de me retrouver à regarder des séries policières avec elle. Je n’aurais jamais cru qu’elle aime ce genre. On s’amuse bien à parier sur qui trouvera le premier le coupable. Et elle n’est pas mauvaise du tout à ce jeu.

Je me demande si des séries policières jeunesse ce ne serait pas une façon de l’inciter à la lecture. Faut que je creuse la question. (Des conseils ?)

Cette quatrième saison commence bien. On s’amuse toujours autant de voir Jane manipuler tout le monde coupable et collègue.

Affiche Le Roi Arthur : La Légende d'ExcaliburLe roi Arthur : la légende d’excalibur 

Synopsis : jeune homme futé, Arthur tient les faubourgs de Londonium avec sa bande, sans soupçonner le destin qui l’attend – jusqu’au jour où il s’empare de l’épée Excalibur et se saisit, dans le même temps, de son avenir. Mis au défi par le pouvoir du glaive, Arthur est aussitôt contraint de faire des choix difficiles. Rejoignant la Résistance et une mystérieuse jeune femme du nom de Guenièvre, il doit apprendre à maîtriser l’épée, à surmonter ses démons intérieurs et à unir le peuple pour vaincre le tyran Vortigern, qui a dérobé sa couronne et assassiné ses parents – et, enfin, accéder au trône… 

Personne ne voulait regarder ce film avec moi, j’ai fini par le regarder seule ce dimanche après-midi pluvieux et c’est plutôt une agréable surprise. Le début est grandiloquent, on à l’impression que le roi se bat contre des extraterrestres et non des mages, tellement ça en jette. Mais les effets spéciaux sont plutôt bien faits. La suite est digne d’un film d’action américain, on ne se sent pas vraiment au moyen âge, mais ça fonctionne. Un roi tyrannique, un jeune self-made-man qui magouille dans les faubourgs de Londinium (pourquoi cette ville? Hmmm parce que le réalisateur à pas dû lire beaucoup de roman sur Arthur et la table ronde. Il s’est dit Angleterre = Londres) et qui deviendra roi. La ville à l’air en ruine plus qu’en contraction, mais bon passons sur les détails et les incohérences. Pour profiter du film d’action. De la bagarre, des combats, de la tension et bien sûr la bataille finale du jeune Arthur contre le big boss (son oncle). Cela fait plus jeu vidéo que légende arthurienne, mais il y  a une belle photographie et un bon rythme, je ne me suis pas ennuyé, même si quelques passages m’ont fait sourire et que le tout reste très cliché. J’ai regardé ce film dans le cadre du challenge Contes & Légendes et la thématique du mois de janvier : légendes arthuriennes.

sur le blog cette semaine :

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