Carnet de bord, lundi 12 avril 2021
Bienvenu sur Ma petite Médiathèque, voici, comme chaque lundi, mon petit carnet de bord de la semaine passée : articles publiés, livres lus et bilan de visionnage au rendez-vous.
la semaine dernière je n’ai pas eu le temps de faire mon petit récap hebdomadaire alors je vous livre ici mes 2 dernières semaines de lectures et visionnages
Lectures des 2 dernières semaines
terminé
J’ai fini le mois de mars avec le quatrième tome des Détectives du Yorkshire : Rendez-vous avec le poison. Un très bon moment de lecture détente.
Synopsis : Il y a comme un vent de printemps qui souffle sur Bruncliffe. Mais la belle saison est loin de profiter à tout le monde… Impliqué dans une affaire de meurtre, Samson O’Brien doit faire face aux questions pressantes de la police, et Delilah Metcalfe aux critiques virulentes de sa famille et de ses amis – qui lui reprochent sa loyauté envers le détective privé. Et quand la vérité sur le passé de Samson éclate au grand jour, tout Bruncliffe se ligue contre lui.
Seul le vétérinaire du coin s’inquiète d’une série de morts inhabituelle au sein de sa clientèle canine. Soupçonnant un acte criminel, il sollicite les services de Samson et Delilah. Bravant les foudres des habitants, ces deux derniers vont devoir découvrir l’origine de ce poison qui menace la communauté bruncliffienne… (synopsis : livraddict)
→ mon avis
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Après avoir découvert le dernier tome de la série BD jeunesse documentaire Le fil de l’Histoire raconté par Ariane & Nino, j’ai emprunté 2 autres tomes, j’avais lu en mars la grande muraille de Chine, j’ai commencé le mois d’avril avec La guerre des tranchées. Une lecture que je fait dans le cadre du challenge Première Guerre Mondiale, organisé par Blandine. Une lecture intéressante.
Synopsis : Ariane et Nino plongent dans l’enfer de la guerre des tranchées qui a marqué la Première Guerre mondiale (1914-1918). Aux côtés des « poilus », ils découvrent pourquoi ces soldats se sont enterrés dans des labyrinthes ainsi que les terribles dégâts provoqués par ce conflit, tant matériels que psychologiques. (source : livraddict)
→ sur Instagram
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Dans mes recherches sur les manga traitant d’art plastique je suis tombé sur 2 titres de la collection du Louvre, je les ai empruntés à la bibliothèque et j’ai commencé par les gardiens du Louvre de Jirô Taniguchi, un auteur que je connais bien et que j’apprécie beaucoup.
Synopsis : Au terme d’un voyage collectif en Europe, un dessinateur japonais fait étape en solitaire à Paris, dans l’idée de visiter les musées de la capitale. Mais, cloué au lit de sa chambre d’hôtel par une fièvre insidieuse, il se trouve confronté avant tout à une forme de solitude absolue, celle des souffrants en terre étrangère, privés de tout recours immédiat au coeur de l’inconnu. Alors que le mal lui laisse quelque répit, il met son projet à exécution, et se perd dans les allées bondées du Louvre. Très vite, il va découvrir bien des facettes insoupçonnées de ce musée-monde, à la rencontre d’oeuvres et d’artistes de diverses époques, au cours d’un périple oscillant entre rêve et réalité, qui le mènera pour finir à la croisée des chemins entre tragédie collective et histoire personnelle. Avec cet album en forme de voyage intérieur, Jirô Taniguchi nous invite à une traversée temporelle et artistique à la découverte d’un esprit des lieux, sous la houlette de quelques figures tutélaires, familières ou méconnues… Car le Louvre a ses gardiens. (sources : livraddict)
Dans la même collection, j’ai aussi emprunté le titre de Naoki Urasawa, un autre mangaka que j’aime beaucoup. Mujirushi ou Le signe des rêves est une courte série en 2 tomes.
Synopsis : Gérant naïf et falot d’une petite manufacture d’objets en caoutchouc, M. Kamoda se voit placer sous séquestre pour fraude fiscale ; excédée, sa femme le quitte, et il est victime d’une escroquerie qui le laisse criblé de dettes… Alors qu’il erre sans but dans la ville avec sa fille Kasumi, à deux doigts de céder à des pulsions de désespoir, il va trouver sur sa route un étrange signe des rêves, qui l’amènera jusqu’à Paris pour l’aventure de sa vie, dans une série de manigances concentriques autour de la Dentellière, le chef-d’œuvre de Vermeer… Sur fond d’élection à la présidence des États-Unis d’une improbable candidate démago-affairiste, Le Signe des rêves est un récit d’aventures satirico-parodique, narrant l’improbable quête d’un pauvre père et de sa fille au musée du Louvre, sous l’impulsion d’Iyami, un mystérieux manipulateur francophile, fameuse figure d’aigrefin farfelu créé par le dessinateur d’humour AKATSUKA Fujio dans les années 1960. (source : livraddict)
→ je vous reparlerais de ces deux manga ce mercredi
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Paris les BD que j’ai empruntées à la bibliothèque j’ai aussi lu le second tome de Saint-Bathélemy, série historique qui relate un événement particulièrement violent de la guerre de religion dans la France de la Renaissance. J’avais beaucoup aimé le premier tome, mais comme c’est un sujet qui me touche beaucoup, j’ai laissé passer un peu temps avant de poursuivre.
Synopsis : Le 24 août 1572, le tocsin marque le départ des massacres de la Saint-Barthélemy. Elie Sauveterre traverse Paris, à la recherche d’Henri de Navarre, et il croise Clément, son jeune frère ayant rejoint le rang des catholiques fanatiques qui s’attaquent aux huguenots. (source : livraddict)
Ce deuxième tome est très bien réussi aussi, et plus violent encore que le premier. J’en reparlerais dans mon prochain, peut-être après avoir lu le troisième et dernier tome.
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Après cela il me fallait un peu de légèreté ! Je l’ai trouvé dans le dernier album de Michel Van Zeveren : le plat du loup plat, tout juste sorti aux éditions l’école des loisirs.
Synopsis : Il était une fois, un loup. «Un loup ? Mais quel loup ?» me direz-vous. Les loups ont depuis longtemps disparu de nos bois. D’ailleurs c’est simple, il n’y en a plus que dans les livres. Et à passer de page en page, ce loup est devenu tout plat ! Il a grand besoin d’un bon repas. Justement, voici trois petits cochons bien dodus… (source : livraddict)
→ ma chronique et mon post Instagram
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J’ai choisi dans ma PAL 2 titres pour le challenge Un mois au Japon sur la thématique des Nippo-Américains durant la Seconde Guerre mondiale, un roman et une BD, le roman est toujours en cours, mais j’ai terminé la lecture des indésirables de Kiku Hughes publié chez Rue de Sèvre en janvier dernier.
Une lecture très intéressante dont je reparlerais bientôt dans un billet thématique.
Synopsis : Kiku a 16 ans. Americano-japonaise, elle se sent déconnectée de son héritage japonais et en sait peu sur l’histoire de sa famille qui cultive le secret. Alors qu’elle est en vacances avec sa mère à San Francisco, elle se retrouve brusquement dans les années 1940, propulsée dans un des camps qui a fleuri sur le territoire américain au lendemain de Pearl Harbor. Parquée, Kiku partage le quotidien de sa jeune grand-mère et de 120 000 citoyens nippo-américains déchus de tous leurs droits civiques par leur propre gouvernement, car accusés d’être des ennemis de la nation… (sources : livraddict)
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J’ai fini la semaine avec la lecture du troisième et dernier tome de Our Colorful Days, une courte série de Gengoroh Tagame sur le thème de l’homosexualité.
J’avais beaucoup aimé le premier tome de cette série, mais je trouve que la suite manque de mordant. Cela reste une jolie série pédagogique.
Synopsis : Lorsqu’il apprend le passé du patron, Sora est profondément choqué. L’adolescent décide alors de prendre, pendant quelque temps au moins, ses distances avec son aîné. Naho, quant à elle, ne peut s’empêcher d’être curieuse et cherche à en savoir plus. Mais entre la rumeur qui se répand et l’arrivée d’un typhon sur la région, l’heure des choix et des révélations semble être venue ! (sources : livraddict)
Je reparlerais de cette série dans mon billet de mercredi.
en cours
J’ai tendance à me disperser en ce moment, du coup je n’avance pas vite dans mes lectures en cours, qui se multiplient.
Je n’ai presque pas avancé dans Balto commencé la dernière fois. J’aime l’ambiance générale, mais je peine à entre dans le récit et je m’arrête après seulement quelques paragraphes. Faut dire que je le lis en format pdf et c’est pas ma tasse de thé.
J’ai commencé Good Omens en VO pour la thématique Anges et Démons du challenge Contes et Légendes, mais là aussi j’avance plus que lentement, quelques paragraphes à la fois.
Synopsis : L’Apocalypse aura lieu samedi prochain, après le thé ! Ainsi en ont décidé, d’un commun accord, les forces du Bien et du Mal. L’Antéchrist va fêter ses onze ans. Son éducation a été supervisée par un ange, Aziraphale, et un démon, Rampa, résidents sur Terre depuis l’époque de la première pomme. Mais voilà, suite à un coup du sort, l’enfant a été échangé à la maternité. Le vrai Antéchrist se nomme Adam et vit dans la banlieue londonienne. Et ça, ça change tout ! Une course contre la montre commence alors pour l’ange et le démon qui, finalement, se disent que la race humaine ne mérite pas son sort… (source : livraddict)
J’ai plutôt bien avancé dans intrigue au Kodokan, roman policier qui se déroule dans le Japon Meiji et où l’on rencontre le fondateur du judo. Je n’aime pas particulièrement le personnage principal (trop virile à mon goût), mais le contexte est intéressant.
Synopsis : Tokyo, un soir d’hiver, en 1882. Dans une pièce sombre, neuf silhouettes vêtues de longues capes attendent, immobiles.
Soudain, un homme fait son apparition, le visage caché par un masque. Il s’emporte contre ce « gouvernement félon qui livre le Japon aux chiens d’étrangers » et dévoile son projet : tuer l’un des principaux politiciens de l’époque, Ito Hirobumi. Un homme est traîné dans la pièce, enchaîné. C’est un proche collaborateur d’Ito Hirobumi. Son refus de trahir son maître va lui couter très cher…
Cette même nuit, le samouraï Tosode marche dans la neige, ivre de fatigue et de saké. Chassé par sa femme, sans travail, il rumine contre ce « Japon Meiji » qui laisse si peu de place à ses anciens samouraïs. Jusqu’à ce que, dans son errance, il tombe sur un homme singulier, qui médite sous la neige. Cet homme s’appelle Jigoro Kano. C’est le fondateur du judo.
Commence alors une intrigue à deux niveaux : sur la scène politique, les affrontements sont violents entre les partisans de l’ouverture à l’Occident et les nationalistes. Et l’on découvre très vite qu’il y a des liens puissants entre les maîtres de Ju-jitsu et les politiciens véreux… (source : livraddict)
Dans ma PAL japonaise, j’ai pioché Quand l’empereur était un dieu, roman de Julie Otsuka autour de la thématique des camps de Nippo-Américain construit aux États-Unis pendant la Seconde Guerre mondiale. De la même autrice j’avais aimé Certaine n’avaient jamais vu la mer. Je retrouve ici son style très particulier et impersonnel.
Synopsis : ORDRE D’ÉVACUATION N° 19 La pancarte avait fleuri du jour au lendemain. Sur les panneaux d’affichage, sur les arbres, au dos des bancs installés aux arrêts d’autobus. Placardée à la vitrine du bazar Woolworth’s. Placardée à côté de l’entrée de la YMCA. Agrafée sur la porte du tribunal d’instance et clouée, à hauteur d’homme, sur chaque poteau téléphonique le long d’University Avenue. La femme se rendait à la bibliothèque pour rapporter un livre lorsqu’elle la remarqua sur la vitre d’un bureau de poste. C’était à Berkeley, par une journée ensoleillée du printemps 1942, et elle portait de nouvelles lunettes grâce auxquelles, pour la première fois depuis des semaines, elle pouvait voir distinctement tout ce qui l’entourait. Elle n’était plus obligée de plisser les yeux, mais elle le fit cependant par habitude. Elle lut l’avis en entier et, alors, les yeux toujours plissés, elle prit un stylo puis relut tout le texte. Les caractères étaient petits et noirs. Certains étaient minuscules. Elle griffonna quelques mots au dos d’un reçu de banque, puis tourna les talons, rentra chez elle et commença à faire ses valises. Lorsque, neuf jours plus tard, la lettre de rappel de la bibliothèque arriva au courrier, elle n’avait toujours pas terminé. Les enfants venaient de partir à l’école et le sol de la maison était jonché de cartons et de valises. Elle jeta l’enveloppe dans celle qui se trouvait à ses pieds puis sortit. (source : livre addict)
Enfin j’ai commencé King Kong Théorie de Virginie Desoentes, un cadeau de ma grande fille. Pour le moment je n’ai lu que l’introduction. D’un point de vue littéraire, je trouve ça redondant. Elle se répète beaucoup. Mais le propos m’intéresse. J’ai hâte d’entrer dans le vif du sujet.
Synopsis : En racontant pour la première fois comment elle est devenue Virginie Despentes, l’auteur de « Baise-moi » conteste les discours bien-pensants sur le viol, la prostitution, la pornographie. Manifeste pour un nouveau féminisme. (source : livraddict)
Visionnages des deux dernières semaines
Inspecteur Barnaby :
Lettre mortelle : Au cours d’une fête villageoise, le corps d’une femme est retrouvé flottant dans la rivière. Les premiers éléments de l’enquête révèlent que la malheureuse a été assassinée. Barnaby et Jones sont chargés de l’affaire. À mesure qu’ils se renseignent auprès des villageois, ils en arrivent à la conclusion que la mort de cette femme est sans doute liée à celle de sa fille, une reine de beauté, survenue huit ans plus tôt dans des circonstances tout aussi troublantes. Tandis que Barnaby poursuit ses interrogatoires, d’autres meurtres sont commis. Le flegme de l’inspecteur suffira-t-il à arrêter l’assassin ?… (source : SensCritique)
la course à l’héritage : Le vieux sir Freddy Butler a invité ses deux ex-épouses, Annabel et Lucinda à vivre avec lui et sa nouvelle femme Tara. Lorsqu’il succombe subitement d’une crise cardiaque, la rivalité et l’amertume entre les trois femmes et Sandra, l’épouse de son unique héritier, remontent à la surface. Le testament de Freddy Butler disparaît soudainement et son notaire est assassiné dans un incendie criminel. Barnaby et Jones mènent l’enquête. Une question s’impose : à qui profite le crime ? Les soupçons se portent sur la proche famille de la victime, mais tous semblent avoir de solides alibis. Le mystère s’épaissit encore lorsque des diamants légendaires disparaissent comme par enchantement… (source : Sens Critique)
Quatre enterrements et un mariage : Mildred Danvers, féministe d’âge mur, est retrouvée morte. Elle venait de se réinstaller à Broughton, son village natal. Aussitôt, sa mort ravive la guerre des sexes qui avait déjà fait rage au moment de la Première Guerre mondiale. La tension monte d’un cran lorsque le révérend Gant, connu pour sa misogynie, est peu après tué par balles à la foire, lors d’une course d’ânes. L’assassin fait-il partie des féministes ou des misogynes ? Est-il un homme ou une femme ? Y a-t-il d’autres motifs en jeu ? L’inspecteur Barnaby ne sait plus où donner de la tête. Peut-être devrait-il chercher l’origine de ces tragédies dans le passé de la petite bourgade… (source : SensCritique)
Ces dames de la campagne : Dans la petite ville d’Elverton-cum-Latterly, le projet de construction d’un supermarché est au coeur de toutes les discussions. Pour certains, c’est un bouleversement intolérable. La presse s’empare même de la controverse. Lorsque le spécialiste de l’environnement, Frank Hopkirk, est poignardé, l’inspecteur Tom Barnaby et son collègue Ben Jones sont chargés de l’enquête. Au vu des premiers éléments, il s’avère que la victime passait beaucoup de son temps chez certaines villageoises. Le village livrera-t-il ses secrets ? Et les enquêteurs seront-ils en mesure de découvrir la cause réelle des controverses qui agitent Elverton ?… (surce : SensCritique)
La mort en chantant : L’inspecteur Barnaby assiste au procès d’une jeune femme qu’il a lui-même arrêtée. Bien que tous les indices concordent, l’accusée plaide non coupable, à la grande surprise du policier. Déstabilisé, celui-ci finit par être pris d’un doute tenace et décide de reprendre toute l’enquête depuis le début. Barnaby commence par vérifier certains témoignages. Il va même jusqu’à convaincre une vieille dame de servir d’appât pour prendre le véritable assassin en flagrant délit. A ce stade, le policier ne sait toujours pas sur quel pied danser. C’est alors qu’un personnage suspect se manifeste. S’agit-il de son homme ? (source : SensCritique)
Complément d’enquête : L’inspecteur Barnaby assiste au procès d’une jeune femme qu’il a lui-même arrêtée. Bien que tous les indices concordent, l’accusée plaide non coupable, à la grande surprise du policier. Déstabilisé, celui-ci finit par être pris d’un doute tenace et décide de reprendre toute l’enquête depuis le début. Barnaby commence par vérifier certains témoignages. Il va même jusqu’à convaincre une vieille dame de servir d’appât pour prendre le véritable assassin en flagrant délit. A ce stade, le policier ne sait toujours pas sur quel pied danser. C’est alors qu’un personnage suspect se manifeste. S’agit-il de son homme ? (source : SensCritique)
Dans avec la mort : Simon Bright, un adolescent, est retrouvé mort asphyxié dans une voiture. Les premiers éléments de l’enquête laissent penser à un suicide. Barnaby prête néanmoins attention à des indices troublants que les autres avaient négligés : deux coupes de champagne, un bouquet de fleurs et un CD de musique romantique sur la banquette arrière. La victime était donc vraisemblablement en charmante compagnie peu avant sa mort. Reste à savoir ce qui s’est réellement passé et à retrouver la mystérieuse jeune femme. Celle-ci est-elle une victime ou les policiers tiennent-ils leur meurtrière ? S’agit-il d’un simple rendez-vous amoureux qui aurait mal tourné ou d’une affaire plus sombre ? (source : SensCritique)
L’oncle d’Amérique : Photographe à la retraite, Rex Masters est retrouvé mort dans sa maison. Très vite, trois de ses meilleurs amis se présentent pour réclamer la fortune de Masters. Mais soudain, Faith Alexander, une nièce du défunt que tout le monde croyait décédée, apparaît pour demander elle aussi sa part de l’héritage. Pour justifier son retour, elle explique que jusqu’à présent elle habitait en Amérique et que ses parents ont trouvé la mort dans un accident d’avion. L’inspecteur Barnaby s’interroge sur cette mystérieuse apparition et décide de mener sa petite enquête. En compagnie de Jones, il tente de faire la lumière sur cette histoire (source : SensCritique)
la chasse au trésor : La situation financière de la verrerie «Le Crystal du Roi» ne cesse de se dégrader depuis la mort d’Alan King, l’un des principaux actionnaires de cette affaire familiale. Six mois plus tard, Hilary, la veuve de King, décide d’épouser Charles, frère de son défunt époux et désormais à la tête de la compagnie. Peu après le mariage, Peter Baxter, en charge du budget de l’entreprise, est retrouvé assassiné. Selon le rapport de police, il se serait trouvé au mauvais endroit au mauvais moment et aurait surpris des cambrioleurs qui n’auraient pas hésité à le tuer. Mais très vite, de nombreuses irrégularités financières sont constatées dans la comptabilité de la verrerie. Barnaby, qui flaire une entourloupe, demande à Jones d’utiliser ses contacts maçonniques pour démêler cette petite embrouille (source : SensCritique)
le Blues de l’assassin : Tous les ans, Midsomer organise son célèbre festival de blues. Cette année, c’est le groupe «Hired Gun» qui est la principale tête d’affiche de ce rendez-vous musical qui attire de plus en plus d’amateurs. Mais bizarrement, les membres de la formation vedette disparaissent les uns après les autres avant même d’avoir eu l’occasion de se produire sur la scène de la petite bourgade anglaise. Il y a trente ans, sous la direction de l’inspecteur Jenkins, Barnaby avait déjà enquêté sur la disparition de Ginger Foxton, l’un des membres du groupe. Pour cette nouvelle affaire, il va dresser le profil psychologique de chacun des musiciens (source : SensCritique)
Avec cette nouvelle saison, nouvel adjoint. C’est le policier Jones qui va assister l’inspecteur-chef Barnaby et devenir à son tour inspecteur. Le troisième assistant depuis le début et sans doute celui que je préfère. Quand il commence, il n’est que simple policier en uniforme, mais se montre déjà très observateur et doué pour les enquêtes. Moins hautain que le précédent assistant, plus futé que le premier, Jones est de loin le plus sympa et le plus doués des inspecteurs qui travaillent sous les ordres de Barnaby. J’aime bien ce personnage.
J’ai beau enchainer les épisodes, je trouve toujours autant de plaisir à visionner cette série anglaise old school. J’aime la lenteur et la complexité des intrigues avec de très nombreux suspects qui tiennent la route. J’aime ne pas deviner de suite qui est l’assassin, cheminer en même temps que les inspecteurs dans mes suppositions. Si l’ambiance générale est vieillotte avec les épouses à la maison, des couples d’une autre époque, des petits vieux caricaturaux et une campagne anglaise bien peu accueillante avec des rivalités entre villages frisant le ridicule, j’aime le rythme de la série et le personnage de Barnaby et l’ambiance familiale qui se dégage de la série. Au fils des épisodes, on retrouve régulièrement l’épouse de l’inspecteur et sa fille, on le voit interagir avec elles et on a presque l’impression de faire partie de la famille.
Avec cette série je participe aux challenges British Mysteries, A yaer inEngland et au challenge Polar et thriller.
Edge of Tomorrow
Synopsis : Dans un futur proche, les armées du monde s’unissent afin de combattre des hordes d’extraterrestres livrant une bataille acharnée contre les habitants de la Terre. Le commandant William Cage, qui n’a jamais combattu de sa vie, est envoyé dans ce qui ressemble à une mission-suicide. (source : SensCritique)
Nous avons regardé ce film en famille, avec Mimiko, ça faisait longtemps que nous n’avions pas regardé de films tous les trois ensemble. Chéri et moi-même avions déjà regardé le film 2 fois, mais nous l’aimons tous les deux beaucoup alors on a eu envie de le faire découvrir à Mimiko. Un très bon film SF.
Avec Chéri nous avons aussi lu le roman. Les deux versions sont très différentes même si le principe reste le même. Chéri préfère le film, moi j’ai une préférence par l’histoire du roman. Quant au manga, il ne m’a pas du tout marqué, je sais que je l’ai lu, mais je n’en garde aucun souvenir. Revoir le film m’a donné envie de relire le roman.
Sur le blog
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- Un mois au Japon 2021
- Ma PAL Japonaise
- Silex [album jeunesse]
- Challenge BD » Des Histoires & Des Bulles »
- Top Ten Tuesday #91 – 10 manga pour en apprendre plus sur l’histoire du Japon
- TBTL 2021 #7 – A comme …
- le plat du loup plat [album jeunesse]
IRL
Tant qu’à être enfermé chez soi, profitons-en pour s’instruire. J’ai commencé de nouveaux moocs dont un très intéressant sur les peintres femmes.
O’hanami à la maison
Les deux merisiers sont en fleurs, ils sont magnifiques.
J’ai bien aimé Our Colorful Days et la série Détectives du Yorkshire me tente bien !
Bonne semaine ! 🙂
Haa edge of tomorrow, j’étais partie le voir sans rien en attendre et j’avais été vraiment très agréablement surprise 🙂
J’aime beaucoup aussi les détectives du yorkshire !
Belle semaine livresque !
merci.
je note tout particulièrement les gardiens du Louvre dont je n’avais pas entendu parler!
Ils sont sympas les 2 Tezuka, surtout très beaux, mais ce ne sont pas du tout mes préférés de l’auteur ^^!
Ravie de voir que tu as découvert Les indésirables, c’était une histoire qui m’avait marquée
Je ne suis pas fan d’Edge of Tomorrow peu importe la version par contre ^^!
Je te souhaite une très belle semaine et bon courage pour la suite 😀
Yeeeahhh, ici aussi on aime beaucoup « The Edge of tomorrow » ! et bravo pour « Good omens » en VO ! Bonne semaine, chère Bidib !
un très joli panel de lectures. merci pour les découvertes
J’aime bien l’inspecteur Barnaby
Que de lectures ! 🙂 Contente de voir que tu prends toujours plaisir à tes séjours à Bruncliffe 🙂
Tellement de titres dans ton billet, je ne sais plus où donner de la tête! ^^ J’ai beaucoup aimé « Les Gardiens du Louvre », j’adore les dessins de Taniguchi et certains de ses romans graphiques sont des coups de cœur.
Bonne lecture avec « Good omens », c’est vraiment excellent ! ^^ En VO, ça ne doit pas être évident ! Bravo en tout cas.
De mon côté, j’ai terminé le tome 5 des Détectives du Yorkshire, tu me rattrapes ! 😉 Je vois que tu passes toujours du bon temps avec l’inspecteur Barnaby, c’est chouette!