le carnet de bord de Bidib, samedi 4 janvier 2025

Coucou c’est Bidib. Je vous retrouve pour un nouveau carnet de bord. Mais avant de vous parler de mes dernières aventures livresques et cinématographiques, je vous souhaite à tous une très bonne année 2025. Un grand merci à tous ceux qui ont suivi nos aventures sur le blog tout au long de l’année 2024, j’espère vous retrouver à nos côtés pour cette nouvelle année.

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parlons lecture

Mon dernier carnet de bord date du 11 décembre ! Depuis j’ai bien publié un bilan lecture, mais comme je suis super à la bourre, c’était celui d’octobre.

Depuis mon dernier carnet, j’ai avancé dans 2 lectures audio :

Résister à la culpabilisation de Mona Chollet que je découvre en audio grâce à NetGalley. Comme je trouve cette lecture très intéressante, je me suis fait offrir pour Noël la version papier. Ce genre de livre j’aime beaucoup les écouter parce que c’est plus facile (l’écrit me demandant déjà beaucoup de concentration à cause de ma dyslexie). Sauf que pour partager où revenir sur des passages particulièrement intéressants le format audio est moins pratique, c’est pourquoi j’aime associer les deux formats. J’écoute d’abord, puis je reviens sur les chapitres qui m’ont le plus marqué en format papier pour pouvoir prendre des notes et partage avec mes proches les idées que j’ai trouvé intéressantes.

Résumé : Harcèlement, humiliations, insultes : nous sommes bien averti.es de ces fléaux de la vie en société et nous nous efforçons de lutter contre eux. Mais il y a un cas de figure que nous négligeons : celui où l’agresseur, c’est… nous-mêmes. Bien souvent résonne dans notre tête une voix malveillante qui nous attaque, qui nous sermonne, qui nous rabaisse ; qui nous dit que, quoi que nous fassions, nous avons tort ; que nous ne méritons rien de bon, que nous présentons un défaut fondamental. Cette voix parle particulièrement fort quand nous appartenons à une catégorie dominée : femmes, enfants, minorités sexuelles ou raciales…
Ce livre se propose de braquer le projecteur, pour une fois, sur l’ennemi intérieur. Quels sont ces pouvoirs qui s’insinuent jusque dans l’intimité de nos consciences ? Comment se sont-ils forgés ?
Nous étudierons quelques-unes de leurs manifestations : la disqualification millénaire des femmes et, notamment, aujourd’hui, des victimes de violences sexuelles ; la diabolisation des enfants, qui persiste bien plus qu’on ne le croit ; la culpabilisation des mères, qui lui est symétrique ; le culte du travail, qui indexe notre valeur sur notre productivité ; et enfin la résurgence de logiques punitives jusque dans nos combats contre l’oppression et nos désirs de changer le monde. (source : livraddict)

J’ai commencé un autre livre audio sur Audible : Jung, un voyage vers soi de Frédéric Lenoir. Comme pour le titre précédent, je me suis fait offrir la version papier pour Noël, pour les mêmes raisons.

Résumé : « Carl-Gustav Jung (1875-1961), médecin suisse, pionnier de la psychanalyse, est l’un des plus grands penseurs du xxe siècle. Il reste assez méconnu en France, alors que ses idées ont exercé une influence profonde sur notre culture contemporaine et qu’il a été l’inventeur de nombreux concepts révolutionnaires, comme la synchronicité, l’inconscient collectif, les archétypes ou les complexes. Il est avec Spinoza l’un des auteurs qui m’ont le plus marqué et il a eu un impact décisif sur ma vision du monde et de moi-même. Voilà pourquoi j’ai eu à coeur de rendre accessible à un large public sa pensée visionnaire, qui fait le pont entre psychologie et physique quantique, qui montre combien l’être humain a besoin de sens et d’une vie symbolique ou spirituelle pour s’épanouir profondément. Cette conviction l’éloignera de Freud et le conduira à expérimenter et à élaborer son « processus d’individuation » : un extraordinaire voyage intérieur, où chacun d’entre nous apprend à faire dialoguer son conscient et son inconscient pour devenir pleinement soi et accéder à un sentiment d’unité et de joie profonde. C’est à ce fascinant voyage vers soi que j’ai voulu convier le lecteur, à la découverte d’un des penseurs qui me semble être allé le plus loin dans la compréhension de l’être humain et du sens de son existence. »Frédéric Lenoir est philosophe et sociologue. Il est l’auteur de nombreux ouvrages traduits dans une vingtaine de langues et vendus à plus de 7 millions d’exemplaires dans le monde. (source : livraddict)

Dans un tout autre registre, j’ai feuilleté au grès des envies 2 livres de saison :

Grimoires des Sabbats : Yule de Ketty Orain-Farella et le grand livre des esprits de Noël de Richard Ely, illustré par Frédérique Devos.

Autre lecture autour de la thématique de Noël (et des deux challenges auxquels je participe en cette période) : Merry Christmas un recueil d’aventures d’Hercule Poirot.

L’année dernière j’avais lu Le Noël d’Hercule Poirot. Cette année j’ai lu Christmas pudding. Enfin j’ai lu la nouvelle intitulé Christmas pudding puisque cette seconde partie du recueil regroupe 6 nouvelles.

résumé : Le Noël d’Hercule Poirot (1938) : Parce qu’il a décidé de modifier son testament et qu’il se fait une joie de leur annoncer, Simeon Lee invite ses enfants à passer les fêtes de fi n d’année dans sa propriété. Le 24 décembre, il est assassiné dans sa chambre. Tous, évidemment, le détestaient ; tous avaient des raisons de vouloir le tuer.

Christmas pudding (1960) : Un soir de Noël, un rubis – gros comme un bouchon de carafe – est dérobé à un prince oriental… Six nouvelles, six facettes de l’ingéniosité et du talent d’Agatha Christie, et six énigmes brillamment résolues par Hercule Poirot et Miss Marple.

Noël, la douceur des retrouvailles familiales et les délicieux souvenirs de l’enfance ! Cela peut aussi être le moment idéal pour régler ses comptes et commettre un crime… Seulement, même à Noël, rien ni personne ne peut mettre au repos les petites cellules grises d’Hercule Poirot. (source livradict)

Petits et grands écrans

Avec les vacances on a regardé pas mal de films en famille et j’ai enchainé les séries. Je vous parle tout d’abord d’une série que j’ai commencée en novembre et finie en décembre : Nicolas Le Floch, une série TV française adaptation de la série de roman éponyme.

Synopsis : Dans le Paris du XVIIIe, Nicolas Le Floch, jeune et brillant commissaire au Châtelet, enquête pour le compte de M. de Sartine, lieutenant général de police du Roi. Il s’attelle avec acharnement et résout les enquêtes les plus délicates. (source Allociné)

Nicolas Le Floch est le personnage d’une série de roman policier crée par Jean-François Parot et reprise par Laurent Joffrin à la mort de celui-ci.

J’avais découvert ce personnage grâce à la version audio du 15e tome des enquêtes de Nicolas Le Floch : le cadavre du Palais-Royal, le premier écrit par Laurent Joffrin. Ce roman ne m’avait pas laissé un super souvenir alors quand j’ai vu que la série était disponible sur Amazon Prime Video, je n’y ai pas tout de suite prêté attention, mais un soir qu’on ne savait pas quoi regarder nous nous sommes lancés dans le premier épisode avec Chéri et on a plutôt bien accroché. Après toutes les séries américaines qu’on avait regardées, ça nous changeait de ton. Et la langue très ampoulée que les personnages parlent nous a amusés.

La série fait 6 saisons de 2 épisodes chacun. Comme il y a 17 tomes à cette saga, seulement une partie a été adaptée.

Dans les premières saisons, nous sommes sous le règne de Luis XV, puis nous passons au règne de Luis XVI.

En famille nous avons regardé 2 très bons films et quelques comédies.

Commençons avec 2 films historiques : Green Book et Oppenheimer.

Green Book sur les routes du sud

Synopsis : En 1962, alors que règne la ségrégation, Tony Lip, un videur italo-américain du Bronx, est engagé pour conduire et protéger le Dr Don Shirley, un pianiste noir de renommée mondiale, lors d’une tournée de concerts. Durant leur périple de Manhattan jusqu’au Sud profond, ils s’appuient sur le Green Book pour dénicher les établissements accueillant les personnes de couleur, où l’on ne refusera pas de servir Shirley et où il ne sera ni humilié ni maltraité.

Dans un pays où le mouvement des droits civiques commence à se faire entendre, les deux hommes vont être confrontés au pire de l’âme humaine, dont ils se guérissent grâce à leur générosité et leur humour. Ensemble, ils vont devoir dépasser leurs préjugés, oublier ce qu’ils considéraient comme des différences insurmontables, pour découvrir leur humanité commune. (source : Allociné)

Cela faisait des années que j’avais envie de voir ce film, l’occasion s’est enfin présentée. Nous l’avons regardé tous les 3 avec Kio et Chéri et nous avons adoré. C’est un très beau film. Également disponible sur Amazon Prime Video.

Une histoire très touchante d’une amitié qui va naitre entre deux hommes que tout oppose sur fond de racisme dans l’Amérique des années 60. Les deux acteurs sont excellents. On a passé un très bon moment.

Film biographique, il a reçu de nombreuses récompenses. Si vous avez l’occasion, je ne peux que vous le recommander.

Oppenheimer

Synopsis : En 1942, convaincus que l’Allemagne nazie est en train de développer une arme nucléaire, les États-Unis initient, dans le plus grand secret, le « Projet Manhattan » destiné à mettre au point la première bombe atomique de l’histoire. Pour piloter ce dispositif, le gouvernement engage J. Robert Oppenheimer, brillant physicien, qui sera bientôt surnommé « le père de la bombe atomique ». C’est dans le laboratoire ultra-secret de Los Alamos, au cœur du désert du Nouveau-Mexique, que le scientifique et son équipe mettent au point une arme révolutionnaire dont les conséquences, vertigineuses, continuent de peser sur le monde actuel… (source : Allociné)

Autre film biographique. Nous avons découvert avec lui l’histoire de l’homme qui a dirigé le développement de la bombe nucléaire aux dans les années 40. Un sujet des plus terrible.États-Unis

Le film est très long (3h) et nous avons fait le choix de le regarder en VO. Il y a énormément des personnages et j’avoue que parfois on était un peu perdus surtout avec les différentes temporalités, je pense qu’il faudra qu’on le re-regarde une deuxième fois en VF pour vraiment bien comprendre tous les aspects de ce film, néanmoins ce premier visionnage nous a marqués. Vu la longueur nous avions peur de décrocher, filament nous avons été happés par le film qui est très bien joué.

À voir sur Netflix.

Après un tel sujet, on avait besoin de légèreté, nous avons donc regardé quelques comédies.

Red One

Nous ne sommes pas très film de Noël, surtout les comédies romantiques, c’est pas vraiment notre came. Mais on avait quand même envie de regarder au moins un film de Noël et comme nous sommes très film d’action (chacun ses faiblesses) nous avons jeté notre dévolu sur Red One, un film de Noël d’action disponible sur Amazon Prime Video.

Autant le dire tout de suite, ce n’est pas du grand cinéma, mais on a passé un bon moment, on s’est bien marré sans prise de tête, avec un scénario sans surprise.

Synopsis : Après l’enlèvement du Père Noël – Nom de code: Rouge – le chef de la sécurité du pôle Nord doit s’associer avec le chasseur de primes le plus célèbre du monde dans une mission pleine d’action à travers le globe pour sauver Noël. (source : Allociné)

On aime bien Dwayne Johnson et Chris Evans et c’était amusant de voir un film d’action qui ne se prend pas trop au sérieux avec se décalage entre comédie de Noël et film d’action avec comabet et courses poursuites. On retrouve également Jiernan Shipka qui joue le rôle de Gryla, une méchante sorcière-ogresse (l’actrice qui incarne Sabrina dans la série Les nouvelles aventures de Sabrina)

Je termine cette selection de visionnages avec 2 films français :

OSS 117

OSS 117 le caire nid d’espions 

Synopsis : Égypte, 1955, le Caire est un véritable nid d’espions.

Tout le monde se méfie de tout le monde, tout le monde complote contre tout le monde : Anglais, Français, Soviétiques, la famille du Roi déchu Farouk qui veut retrouver son trône, les Aigles de Kheops, secte religieuse qui veut prendre le pouvoir. Le Président de la République Française, Monsieur René Coty, envoie son arme maîtresse mettre de l’ordre dans cette pétaudière au bord du chaos : Hubert Bonisseur de la Bath, dit OSS 117. (source : Allociné)

OSS 117 Rio ne répond plus

Synopsis : Douze ans après Le Caire, OSS 117 est de retour pour une nouvelle mission à l’autre bout du monde. Lancé sur les traces d’un microfilm compromettant pour l’Etat français, le plus célèbre de nos agents va devoir faire équipe avec la plus séduisante des lieutenants-colonels du Mossad pour capturer un nazi maître chanteur. Des plages ensoleillées de Rio aux luxuriantes forêts amazoniennes, des plus profondes grottes secrètes au sommet du Christ du Corcovado, c’est une nouvelle aventure qui commence. Quel que soit le danger, quel que soit l’enjeu, on peut toujours compter sur Hubert Bonisseur de la Bath pour s’en sortir… (source Allociné)

Parodie des James Bond avec Jean Dujardin dans le rôle principal.

Tout l’intérêt de ces films c’est le jeu d’acteur de Jean Dujardin, ces mimiques, c’est pauses… il est bon, très bon dans la parodie de genre. Pour ce qui est du scénario c’est amusant, mais ça ne casse pas trois pattes à un canard. Des deux nous avons préféré le premier (le Caire Nid d’espions).

Ce billet devenant bien long je vous laisse là pour aujourd’hui, je reviendrais plus tard partager mes aventures laineuses. Vous pouvez déjà les découvrir dans mon vlog de décembre.