Carnet de bord, lundi 10 mai 2021
Bienvenu sur Ma petite Médiathèque, voici, comme chaque lundi, mon petit carnet de bord de la semaine passée : articles publiés, livres lus et bilan de visionnage au rendez-vous.
Lectures de la semaine
lectures terminées
J’ai terminé intrigue au Kodokan, roman policier de Charles Haquet qui nous amène dans le Tokyo de la fin du XIX. Une lecture sympa pour le contexte, mais qui ne m’a pas emporté.
Synopsis : Tokyo, un soir d’hiver, en 1882. Dans une pièce sombre, neuf silhouettes vêtues de longues capes attendent, immobiles.
Soudain, un homme fait son apparition, le visage caché par un masque. Il s’emporte contre ce « gouvernement félon qui livre le Japon aux chiens d’étrangers » et dévoile son projet : tuer l’un des principaux politiciens de l’époque, Ito Hirobumi. Un homme est traîné dans la pièce, enchaîné. C’est un proche collaborateur d’Ito Hirobumi. Son refus de trahir son maître va lui couter très cher…
Cette même nuit, le samouraï Tosode marche dans la neige, ivre de fatigue et de saké. Chassé par sa femme, sans travail, il rumine contre ce « Japon Meiji » qui laisse si peu de place à ses anciens samouraïs. Jusqu’à ce que, dans son errance, il tombe sur un homme singulier, qui médite sous la neige. Cet homme s’appelle Jigoro Kano. C’est le fondateur du judo.
Commence alors une intrigue à deux niveaux : sur la scène politique, les affrontements sont violents entre les partisans de l’ouverture à l’Occident et les nationalistes. Et l’on découvre très vite qu’il y a des liens puissants entre les maîtres de Ju-jitsu et les politiciens véreux… (source : Livraddict)
À l’occasion du mois italien, j’ai eu envie de ressortir les deux premiers tome d’Arte, un manga de Kei Ohkubo, publié chez Komukku.
Dans cette série on suit les déboires d’une jeune femme issue de l’aristocratie florentine qui quitte tout pour travailler comme apprenti dans un atelier de peinture, domaine strictement réservé aux hommes. Après avoir essuyé de nombreux refus, elle arrive à se faire embaucher par Léo, peintre solitaire et bourru qui est impressionné par la volonté de la jeune femme. Et de volonté Arte n’en manque pas, surtout quand on lui dit que ce n’est pas un métier pour une femme.
J’avais bien aimé ces deux premiers tomes lors de ma première lecture, j’ai apprécié tout autant la relecture, j’ai d’ailleurs eu envie de poursuivre la série et viens de commander les 2 tomes suivants
J’ai également lu Lire/Reading, album bilingue français anglais de la collection mini Léon qui met à l’honneur la peinture.
Résumé : Le petit caméléon Léon accompagne toutes sortes de lecteurs et de supports de la lecture : des petits apprenants aux grands lecteurs en passant par les étudiants, les amoureux, les savants, les rêveurs… penchés sur lettres, journaux, romans, contes, ordinateurs, cahiers, magazines… Léon, le héros de la collection Mini Léon, interagit de façon originale et ludique avec treize oeuvres d’art d’époques et de cultures variées : PJ Crook, Vermeer, Cassat, Renoir, Caillebotte, Degas, Hopper, Campbell… (source : Babelio)
lectures en cours
En mai il y a encore plein de thématiques à explorer. Le challenge un mois au Japon joue les prolongations tandis que le mois italien commence. Sans oublier le rendez-vous commun au challenge, Contes et Légendes et cette année sera classique : la mythologie grecque et perse.
Ma première lecture pour le mois italien c’est la divine comédie en version abrégé (toute récente réédition de l’école des loisir). Inutile de présenter ce classique de la littérature italienne (et une lecture de plus pour le challenge cette année sera classique !). 34 pages lues seulement pour le moment, je suis toujours en enfer avec Dante, escorté par Virgile.
Ma première lecture pour le rendez-vous Mythologie grecque et perse c’est un très vieux recueil : Contes et légendes de Babylone et de Perse de Pierre Grimal (1962). J’ai lu le premier mythe : la création de l’homme.
Ambiance grecque aussi avec mon dernier manga : Olympia Kyklos de Mari Yamazaki. On retrouve le même principe que dans son manga Thermae romae : un personnage de l’antiquité est projeté dans le futur, découvre des petites choses de la vie quotidienne et de retour chez lui dans le passé tente de les mettre en application. Ici le récit tourne autour du sport et des Jeux olympiques. C’est amusant, mais pas franchement révolutionnaire. À picorer un chapitre par-ci par-là.
J’ai aussi ressorti de bons présages que j’avais commencés le mois dernier, mais je peine à avancer.
Visionnages de la semaine
Monk – saison 3 épisodes 10 et 11
Monk a une nouvelle assistante et ça arrive comme ça sans prévenir. Un épisode elle est là, l’épisode suivant elle est partie. On n’a rien vu venir. Ce changement brutal est un peu étrange et nous a laissés assez perplexes, mais le nouveau personnage est plutôt sympa. Une femme qui sait ce qu’elle veut et qui ne va pas se laisser faire. Mais c’est au niveau des intrigues que ça pèche un peu. La lassitude nous gagne. Soit cette saison est moins bonne que les précédentes, soit on a notre dose de Monk, quoi qu’il en soit nous avons eu tous les trois envie de voir autre chose.
Prison break – saison 1 épisode 1
Il nous fallait donc chercher autre chose et avec Mimiko nous avons testé Prison break parce qu’elle aime bien les deux acteurs principaux de cette série. Moi, je l’avais vu il y a des années, au moment de sa sortie. Mais je crois que je n’ai jamais vu la fin.
Synopsis : Un homme commet un braquage pour se faire incarcérer à la prison de Fox River. Il espère retrouver son frère, condamné à mort, et l’aider à s’évader. (source : SensCritique)
Si Mimiko avait envie de retrouver ces deux acteurs, elle n’a pas du tout accroché. Faut dire que dans le premier épisode il se passe énormément de choses et elle a eu du mal à comprendre les différents enjeux.
Jupiter’s Legacy – saison 1, épisodes 1 et 2
Nous avons donc choisi une nouvelle série (on ne s’est pas prix la tête on a cliqué sur la première proposition netflix) et nous avons regardé les 2 premiers épisodes de Jupiter’s Lagacy, une histoire de super héros.
Synopsis : Jupiter’s Legacy est une épopée super-héroïque multigénérationnelle qui suit la première génération de superhéros au monde à avoir reçu leurs pouvoirs dans les années 1930. De nos jours, ils sont des protecteurs vénérés pour leur héroïsme, alors que leurs enfants super-puissants luttent pour être à la hauteur des exploits légendaires de leurs parents (source : SensCritique)
J’adore le commentaire de Mimiko je vous le livre tel quel : c’est un mélange de Marvel et DC comics version Wish. Et c’est effectivement tout à fait ça. Les super héros ressemblent beaucoup par leurs super pouvoirs et leurs costumes ridicules aux super héros que nous connaissons déjà, mais en version cheap : mauvais jeu d’acteur, mauvais doublage… C’est deux premiers épisodes sont loin de nous avoir convaincus. Mimiko a d’ailleurs détesté le patriarche moralisateur (moi aussi). Mais personnellement je trouve que sous la croute série B il y a quelques idées intéressantes. J’ai par exemple aimé les flash-back qui nous ramènent en 1929 au moment du crac boursier. L’idée du conflit entre les parents qui en ont chié pour avoir des pouvoirs et les enfants qui sont nés avec, est une piste intéressante. Le tout est maintenant de soir si les scénaristes vont savoir exploiter ses pistes où si on va rester dans le superficiel. Pour le moment on ne va pas très loin dans la réflexion.
Bref je crois que Mimiko n’a pas du tout accroché, mais moi je suis bien plus facile qu’elle et j’ai bien envie de regarder quelques épisodes de plus pour voir comment le scénario va évoluer.
Mar de Plastico Saison 1 épisode 4 à 13
J’ai fini la première saison. J’ai vraiment beaucoup aimé cette série. D’ailleurs je me suis mise à penser en espagnol tellement j’ai enchainé les épisodes en VO.
Synopsis : Hector, nouveau chef de la police judiciaire va enquêter sur le meurtre particulièrement violent de la fille de la mairesse. Dans un village andalou marqué par les conflits entre les habitants et les travailleurs immigrés, avec ses gangs de néonazi qui tabassent les immigrés pour tuer l’ennui, avec les multiples rebondissements, et un assassin manipulateur, les histoires personnelles à résoudre… Hector devra surmonter son stress post-traumatique, se faire entendre, mener l’enquête et ne pas se faire tuer si possible. Bref il y a l’enquête sur l’assassina de Ainhoa, mais aussi de multiples intrigues parallèles sur les personnages centraux, comme la vie personnelle d’Hector, mais aussi les histoires amoureuses et dangereuses de personnages secondaires (le colérique Lucas).
S’il y a quelques raccourcis un peu faciles comme le coup de foudre Fara-Loucas pas très vraisemblable à mon avis, j’ai beaucoup aimé l’ambiance de cette série. Les intrigues s’entremêlent et il y a toujours beaucoup de tension. C’est très mélodramatique, mais un mélodrame bien maitrisé. Ça fonctionne. J’ai trouvé que dans l’ensemble les acteurs sont très bons dans leurs rôles. C’est un peu trop plein de testostérone, de mâles en rut colériques incapables de gérer leurs émotions, mais il y a tout de même des femmes intéressantes comme la discrète et calme Lola, l’assistante d’Hector. J’ai beaucoup aimé son personnage qui est perpétuellement face à des choix difficiles, impliquant sa loyauté (famille, amis) et son professionnalisme (elle aime son travail et elle le fait bien). Elle est toujours posée et son calme réfléchi fait du bien face à tant d’explosions d’émotions.
Avec cette série je participe au challenge Polar et Thriller et fais un petit clin d’œil au mois espagnol.
Top Chef saison 12, épisode 13
Ça y est, on arrive à la fin : c’est déjà les quarts de finale. Cette année comme les précédentes, les candidats devront enchainer les épreuves et tenter de remporter 2 passes. Le premier à avoir 2 passes se sélectionne pour la demi-finale.
Pour la première épreuve, c’est un chef venu d’Angleterre qui ouvre la danse : Heston Blumenthal. Le gars il arrive d’une autre planète, la classe, le sens de la mise en scène… on en fait des tonnes. Bon, nous ne sommes pas impressionnés parce qu’on ne sait pas du tout qui sait le gus, comme à chaque fois qu’on nous présente un nouveau chef superstar. Parce qu’il faut le dire, si nous sommes des fans de Top Chef, en cuisine on n’y connaît rien du tout. Je n’ai d’ailleurs jamais mis les pieds dans un resto gastronomique et les seuls chefs que je connaisse ce sont ceux qui passent à Top Chef. Du coup nous avons découvert Heston Blumenthal et le personnage est assez sympathique. L’épreuve est sympa aussi : associations impossibles. Chaque candidat va se retrouver avec 2 ingrédients qu’on n’aurait pas imaginé assembler : banane-persil, roquefort-chocolat, asperge-réglisse, fraises-olive.
Pour la deuxième épreuve, on retrouve Glenn Viel accompagné de notre chef anglais qui n’a pas fait le déplacement pour rien et s’incruste dans la seconde épreuve, parce qu’il a encore faim. L’épreuve est très classique : moderniser un plat traditionnel, l’agneau et le gratin.
À la fin de l’épisode, personne n’a encore réussi à se qualifier.
Les grands mythes : Psyché, Médée, Thésée, Héraclès, Antigone
J’adore cette série animée produite par Arte. Je l’aime tellement que je m’étais fait offrir le coffret dvd pour Noël, juste avant que notre lecteur dvd décède. Le sens du timing, on l’a ou on ne l’a pas. Il aura fallu plus d’un an (oui, ce n’était pas le dernier Noël) pour qu’on ai enfin de nouveau de quoi regarder les dvd ! Pour notre soirée entre filles, j’ai proposé une soirée ciné à Mimiko et nous sommes allés fouiller dans nos stocks de dvd pour changer un peu des séries netflix. Quand elle a proposé les grands mythes, j’étais ravie. Nous avons regardé 5 épisodes :
- Psyché, la belle et la bête : Dans ce mythe qui a traversé les âges et connaît de nombreuses versions, Psyché est la Belle. Son père, inquiet de la voir sans prétendant, interroge la Pythie qui lui annonce une sombre nouvelle : il doit laisser Psyché en haut d’une colline où un monstre viendra la chercher. Mais Psyché est accueillie dans un magnifique château et le monstre, son époux, est rassurant et tendre. Il lui demande cependant de ne pas chercher à voir son visage. Bien sûr, elle tentera de savoir qui est cet inconnu… jusqu’à mettre ce curieux amour naissant en danger. En coulisses, c’est la déesse Aphrodite, jalouse de la beauté de Psyché, qui est à la manœuvre… Psyché aura de nombreux défis à relever et de pièges à déjouer pour retrouver l’homme qu’elle aime, et dont elle n’imagine pas encore la véritable identité. (source : SensCritique)
- Médée, l’amour assassin : Àla recherche de la toison d’or, Jason vient demander de l’aide au cruel roi de Colchide et à sa fille Médée. Magicienne aux puissants pouvoirs, Médée aide Jason, dont elle est tombée amoureuse, à trouver la précieuse Toison et s’enfuit avec lui. De cette rencontre passionnée découlera nombre d’aventures, mais aussi de terribles malheurs dont la pauvre Médée semble à l’origine. Réfugiés en Grèce, les jeunes gens se marient et Médée donne naissance à deux enfants. Mais un jour, Jason cède à l’appel du pouvoir et répudie Médée pour épouser la fille du roi de Corinthe. Médée, délaissée, éplorée, imagine une terrible vengeance qui anéantira l’homme qu’elle a aimé d’une passion destructrice. (source : SensCritique)
- Thésée ou les ravages de l’oubli : Thésée est le fruit d’une double rencontre : Egée, le roi d’Athènes, s’est uni à Aïthra alors que celle-ci venait de se faire abuser par Poséidon, le Dieu des mers et des océans. Thésée, devenu un jeune homme courageux bénéficie de cette double filiation, divine et royale. Rien d’étonnant donc qu’une fois en âge de se battre, il décide de partir en Crète affronter le terrible Minotaure qui chaque année dévore quatorze jeunes Athéniens livrés au Roi de Crète, Minos. Le Minotaure, l’une des figures les plus connues de la mythologie grecque, est un véritable monstre, né des amours interdites de Pasiphaé, la femme de Minos, et d’un taureau blanc. Il est enfermé dans un labyrinthe construit par l’inventeur Dédale. Thésée terrasse le Minotaure grâce à son courage, mais aussi à Ariane, la fille du roi Minos, qui lui donne le moyen de sortir du labyrinthe grâce à une pelote de laine. Mais le courage de Thésée n’empêche pas le jeune homme de manquer à ses devoirs. Bercé par sa victoire, il commettra quelques oublis irrémédiables qui conduiront au drame… (source : SensCritique)
- Héraclès, l’homme qui devint dieu : Si l’on connaît Héraclès pour sa force inégalée et les douze travaux qu’il eut à accomplir, on sait moins à quel point sa vie fut toute entière bouleversée par une succession de terribles malédictions. Né des amours de Zeus et d’Alcmène, Héraclès fut toute sa vie la cible de la jalouse Héra, la femme de Zeus, qui lui envoya des serpents pour le tuer lorsqu’il était encore au berceau. C’est elle encore qui le manipula lorsqu’il tua ses enfants. Pour se racheter, il dût se mettre à la solde de son cousin, le terrible Eurysthée qui lui donna douze travaux à accomplir, du combat de l’Hydre de Lerne, gigantesque serpent à sept têtes, à la capture de Cerbère, l’effrayant chien à trois têtes, gardien des enfers. (source : SensCritique)
- Antigone, celle qui a dit non : Antigone est l’un des quatre enfants d’Œdipe. Elle a deux frères, Etéocle et Polynice, ainsi qu’une sœur, Ismène. Un jour, sa sœur lui apprend que ses deux frères, héritiers du trône de Thèbes, s’affrontent pour le pouvoir. Ils avaient décidé de le partager, de le prendre chacun en alternance. Mais lorsque le temps est venu pour Etéocle de rendre sa couronne à Polynice, celui-ci ne peut s’y résoudre. La guerre est alors inéluctable. Antigone se précipite pour tenter de les raisonner, rien n’y fait. Au terme d’un combat acharné, les deux garçons meurent. Créon, le frère d’Œdipe, et régent du pouvoir, décide de faire respecter la loi. Il refuse à Polynice le droit d’être enterré selon les rites, et ordonne que l’on laisse son corps à l’abandon, sur le champ de bataille. Cette décision est insupportable à Antigone qui brave l’interdiction : elle est celle qui dit non. (source : SensCritique)
J’aime beaucoup cette série qui associe animation et œuvres d’art. Les épisodes durent 25 minutes et retracent les grandes lignes de chaque mythe. Une voie off raconte l’histoire et son récit est illustré tantôt par des œuvres d’art tantôt par de petites animations au style très stylisé. Avec Mimiko nous avons beaucoup ce type d’animation. Une très belle série à voir et revoir qui tombe à pic pour le rendez-vous interchallenges mythologie grecque et perse.
Brendan et le secret de Kells.
Pour la seconde partie de la soirée, Mimiko a choisi Brendan et le secret de Kells, un film qu’on connaît par coeur, mais que nous n’avions pas regardé depuis un moment. J’adore ce film. L’histoire est très chouette et l’animation originale.
Synopsis : C’est en Irlande, au IX° siècle, dans l’abbaye fortifiée de Kells, que vit Brendan, un jeune moine de douze ans. Avec les autres frères, Brendan aide à la construction d’une enceinte pour protéger l’abbaye des assauts réguliers des Vikings. Sa rencontre avec Frère Aidan, célèbre maître enlumineur et “gardien” d’un livre d’enluminures fabuleux, mais inachevé, va l’entraîner dans de fantastiques aventures. Aidan va initier Brendan à l’art de l’enluminure pour lequel le jeune garçon révélera un talent prodigieux. Pour finir le livre et défiant ses propres peurs, Brendan sortira de l’abbaye pour la première fois et entrera dans la forêt enchantée où de dangereuses créatures mythiques se cachent et l’attendent. C’est là qu’il va rencontrer Aisling, la jeune enfant loup qui l’aidera tout au long de son chemin. Brendan va-t-il réussir sa mission malgré les hordes de Vikings qui se rapprochent ? Pourra t-il prouver que l’art est la meilleure fortification contre les barbares ? (source SensCritique)
je ne m’attarde pas sur ce film, j’en ai déjà longuement parlé ici :
Sur le blog
- Carnet de bord, lundi 3 mai 2021
- Top Ten Tuesday #93 ma PAL coréenne
- Alicia, prima ballerina assoluta
- Lire/Reading [album jeunesse]
Et aussi une nouvelle page thématique pour réunir toutes les œuvres Coréennes cité sur Ma petite Médiathèque
Belle semaine livresque !
Bonne semaine !
J’avais aussi adoré “Brendan et le livre de Kells” ! Et bravo pour avoir commencé “la divine comédie” !! Je suis admirative…! Bonne fin de semaine, Bidib !