Carnet de bord, lundi 17 mai 2021

Carnet de bord, lundi 17 mai 2021

17 mai 2021 6 Par Bidib

Bienvenu sur Ma petite Médiathèque, voici, comme chaque lundi, mon petit carnet de bord de la semaine passée : articles publiés, livres lus et bilan de visionnage au rendez-vous.

Lectures de la semaine

Lectures terminées

J’ai lu Show me love de Ami Fushimi (Akata, 2020). Une jolie lecture dont je reparlerais bientôt.

Synopsis : Nami vient d’emménager avec sa mère dans un nouvel appartement. Abandonnée par son père, l’adolescente désabusée est en rupture avec les autres. Mais elle découvrira avec stupeur qu’un de ses professeurs habite désormais dans le même immeuble qu’elle. Ce dernier, divorcé, vit séparé de son ex-femme et de son fils, Kenta. Très vite, la collégienne se prend d’affection pour le petit garçon… (source : Livraddict)

J’ai également emprunté le premier tome de Sengo de Sansuke Yamada (Casterman, 2020)à la bibliothèque. Typiquement un manga que je n’aurais pas lu si je ne l’avais pas trouvé en bibliothèque et c’est bien dommage. J’ai trouvé ça très chouette. Je vous en reparlerais dans mon prochain panier.

Synopsis : 1945, le Japon est vaincu. De retour au pays, deux soldats qui se sont connus sur le front, le bon vivant Kadomatsu et le désenchanté Toku, se retrouvent par hasard dans un Tokyo détruit et occupé par l’armée américaine. Entre débine et combines, marché noir et prostitution, la question quotidienne de la survie est si cruciale qu’elle éclipserait le désespoir chevillé à ces âmes vaincues. Malgré tout, au fil des nouvelles solidarités qui se nouent dans l’adversité, c’est bel et bien la vie qui regagne du terrain. (source : Livraddict)

J’ai lu le troisième tome de Goodnight, I love you… Une agréable lecture. Je vous en dis plus mercredi. 😉

Synopsis : Mais où les révélations de secrets de famille s’arrêteront ? Blasé, fatigué, Ozora décide de changer d’air, pour enfin profiter de son voyage en Europe ! Direction Venise, accompagné d’un ami rencontré au hasard de ses péripéties. Mais son grand frère lui réserve une surprise : des retrouvailles forcées avec son père… Comment réagira-t-il ? (source : Livraddict)

Le quatrième et dernier tome de la série m’attend déjà. Lecture prévue cette semaine

Je vous reparle de ces manga (et d’autres) mercredi prochain dans un nouveau petit panier de manga !

Lectures en cours

Aux lectures de la semaine dernière (la divine comédie, contes et légendes de Babylone et de Perse), se sont ajouté Balto commencé il y a quelques semaines et mis en pause (j’ai du mal à me motiver avec les formats numériques, j’oublie tout simplement) et une nouvelle lecture : La fleur perdue du chaman K, un roman d’aventure jeunesse écrite par un auteur italien (Davide Morosinotto dont j’avais beaucoup aimé le célèbre catalogue Walker & Dawn). J’avais 2 de ses romans dans ma PAL, le mois italien était l’occasion idéale pour me lancer. Cette nouvelle aventure m’amène en Amérique du Sud.

La fleur perdue du chaman de K : Pérou, 1986. Être admise dans une clinique neurologique ne faisait pas vraiment partie des projets de Laila… Mais si ses symptômes ne s’étaient pas manifestés, jamais Laila n’aurait rencontré El Rato. Et jamais ils n’auraient découvert un étrange journal, écrit en 1941 par un certain Dr Clarke, dans lequel le dessin d’une fleur allait changer le cours de leur existence. Utilisée par les chamans de la tribu de K., la Fleur perdue aurait un grand pouvoir de guérison (encore faut-il la dénicher). Lorsque le diagnostic tombe pour Laila, et que l’espoir ne semble plus permis, les deux amis décident de tenter le tout pour le tout : trouver la fleur et ainsi guérir Laila. Mais pour cela, un long voyage des Andes à la forêt amazonienne les attend, un long voyage semé d’embûches… (source : Livraddict)

Visionnages de la semaine

Mar de Plastico – saison 2

Affiche Mer de plastique J’avais beaucoup aimé la première saison de cette série et j’ai aussitôt enchainé avec la saison 2 et j’ai tout regardé d’un coup (mon côté monomaniaque 😆).

Difficile de vous résumer cette saison sans spoiler la première. Disons que la première saison et loin de proposer un happy end à notre inspecteur. Il a réussi à résoudre l’affaire, mais le sort s’acharne à lui rendre la vie difficile. Et tout va de mal en pis. Dans cette seconde saison, Hector revient au village pour enquêter sur la mort d’un de ses proches et tout de suite il soupçonne un ancien ami. Est-ce que ses soupçons sont bien fondés ou est-ce qu’il se laisse emporter par ses émotions ? Ses subordonnés en viennent à douter, et lui-même finit par se poser la question. En attendant, comme un malheur ne vient jamais seul, il doit enquêter sur toute une série de meurtres. Y aurait-il un tueur en série au village ? Et tandis que la gruadia civil enquête, un lucratif commerce de femme s’installe dans le coin.

Si la première saison offrait son lot de cliché et de mélodrame, rien ne s’arrange de se côté là dans la seconde saison. C’est même pire. Psychodrame à foison. Faut dire que l’inspecteur et personnellement impliqué dans cette enquête, pas facile de garder son sang-froid.

J’ai aimé retrouver les personnages, Hector, Salva et Lola le trio d’enquêteurs, et j’ai trouvé que l’enquête n’est pas si facile que ça à résoudre, on met un petit moment à trouver l’assassin, du moins moi je me suis posé pas mal de questions et ça, c’est très agréable. Mais le ton est un peu too much. Déjà en en faisait des tonnes dans la première saison, là c’est pire. Hector crie plus souvent qu’il ne parle et se laisse très vite emporter.

J’ai tout de même pris plaisir à regarder cette série, j’ai adoré la regarder en VO et j’étais super contente de constater que j’arrivais à très bien suivre sans lire les sous-titres (je n’ai pas osé virer les sous-titres en revanche ^^).

Me gout des Marguerites – saison 2, épisodes 4 à 6

Affiche Le goût des margueritesIl y a deux semaines, j’avais commencé la saison 2 d’une autre série espagnole disponible sur Netflix. Je l’avais mise de côté parce que son sujet particulièrement sombre me dérangeât : prostitution infantile.

Ayant terminé mar de plastico j’ai repris cette série et j’ai fini la deuxième saison. C’est assez confus. L’héroïne souffre d’amnésie et d’hallucinations. Elle sort juste de prison et se met à enquêter sur un réseau de prostitution infantile. Sauf que les personnes qu’elle interroge se font violemment assassiner les une après les autres. Est-elle l’assassin ? Soufre-t-elle d’un dédoublement de personnalité ? Voilà le principe autour duquel s’articule la série. Si le principe est intéressant et fonctionne plutôt bien, j’avoue avoir été parfois un peu perdue. Entre les différents réseaux de prostitutions je n’ai pas tout compris. C’est sombre et assez disjoncté.

La fin laisse présager une troisième saison même si cela se termine par une vraie conclusion.

⇒ Avec ces deux séries, je participe au challenge Polar et Thriller et fais un clin d’œil au mois espagnol.

Thunder force

Petite comédie en famille avec Thunder force, un film netflix avec Melissa McCarthy qu’on aime bien.

Synopsis : Deux meilleures amies d’enfance se retrouvent en un duo improbable de superhéros luttant contre le crime lorsque l’une d’elles invente une formule qui donne des super-pouvoirs aux gens ordinaires. (source : SensCritique)

Tout est dit dans ce résumé en deux lignes. Il n’y a pas grand-chose dans ce film, c’est une parodie du film de superhéros avec deux héroïnes qu’on imagine pas dans se rôle. C’est un film familial, léger (avec quelques blagues sous la ceinture, mais rien de bien méchant). Ona bien ris, passé un bon moment et mis notre cerveau au repos.

Zero – saison 1, épisodes 1 à 3

Affiche ZeroAprès 3 semaines de séries espagnoles, je voulais me lancer dans une série italienne. Après tout mai c’est aussi le mois italien. J’ai un peu fouillé le catalogue Netflix et j’ai fini par me lancer dans Zero, une série SF pour ado.

Zero c’est un jeune homme d’origine sénégalaise qui vit dans un quartier populaire. Sa passion : dessiner des manga avec un héros noir. Il économise pour partir un jour. Enfin, ça, c’est son rêve, parce qu’il n’a toujours pas osé en parler à son père chez qui il vit encore avec sa petite soeur. Mais ce qui fait sa particularité c’est qu’il est doté d’un pouvoir surnaturel, il peut devenir invisible. Quand un groupe de jeunes du quartier découvrent son pouvoir, ils tentent le convaincre de se joindre à eux pour faire quelque chose pour protéger son quartier.

Leur quartier, très populaire, est la cible d’un groupe mafieux qui veut virer les locateurs pour y construire autre chose. Les incidents se multiplient, agressions, accidents… Les jeunes sont bien décidés à protéger leurs quartiers.

Avec seulement 3 épisodes, je n’ai pas encore d’avis tranché. J’ai trouvé les premiers épisodes sympas, une bonne dynamique, un personnage principal attachant. Affaire à suivre.

Yasuke – épisode 1 à 3

Série d’animation Netflix dans la même veine que Seis Manos (que j’avais beaucoup aimé, mais à peine évoqué ici).

Synopsis : Dans un Japon féodal déchiré par la guerre, le premier samouraï africain, Yasuke, a raccroché l’épée. Afin de venir en aide à un enfant, poursuivi par des forces obscures et des seigneurs de guerre sanguinaires, Yasuke va repartir au combat… (source : SensCritique)

Cette série d’animation s’inspire de l’histoire de Yasuke, le samouraï noir ayant vécu au XVI siècle. Mais s’ajoute ici une dimension SF. Le Japon est en guerre et des forces surnaturelles et/ou technologiques s’en mêlent mettant à mal les équilibres. Nobunaga est mort et Yasuke qui le servait est devenu un batelier dans un village. Là une femme lui demande de l’aider à rejoindre une zone dangereuse où elle doit amener sa fille. L4enfant est doté d’un étrange pouvoir. Yasuke va se retrouver lié à cette fille, et va devoir affronter des mercenaires peu communs : loup-garou, robot, sorcier…

Sur le blog

petite semaine avec seulement  billets

Trop de travail au jardin et cette période, plus trop le temps d’écrire 🙂

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